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2014 marque le 70^e anniversaire des combats du Maquis des Glières et de la Libération de la Haute-Savoie. Plusieurs cérémonies et manifestations sont prévues tout au long de l'année, sous l'égide de l'Association des Glières et du Comité haut-savoyard des associations de mémoire de la Résistance et de la Déportation (CRD 74). La cérémonie anniversaire des combats des Glières, le 6 avril à la Nécropole nationale de Morette, vraisemblablement présidée par une haute personnalité nationale, en sera l'un des moments forts.

La série « Mémoires d'ici » propose des transcriptions de panneaux historiques et culturels situés à différents endroits d'Annecy, ainsi que des coupures de la presse locale et - une fois n'est pas coutume - le magazine du Conseil général de Haute-Savoie. Vous remarquerez qu'il y a tout de même beaucoup de redites dans les transcriptions, seuls quelques paragraphes et les encadrés (dont beaucoup n'ont pas été reproduits car leurs contenus purement agenda n'ont pas grand intérêt...) contenaient des informations nouvelles d'un article à un autre au fur et à mesure de l'année...

Le 19 août 1944, Annecy était libérée de l'occupation allemande par les forces de la Résistance haut-savoyarde. Soixante-cinq ans après, cette page importante de l'histoire de notre ville sera commémorée mercredi 19 août [2009].
Pour que la mémoire vive !

La série « Mémoires d'ici » propose des transcriptions de panneaux historiques et culturels situés à différents endroits d'Annecy, ainsi que des coupures de la presse locale et notamment la revue municipale de la ville d'Annecy.

La série « Mémoires d'ici » propose des transcriptions de panneaux historiques et culturels situés à différents endroits d'Annecy. À l'approche de l'anniversaire de la libération d'Annecy et de la Haute-Savoie, je suis retourné faire un tour dans le >> quartier Galbert, pour reprendre en photos les différentes plaques et monuments qui s'y trouvent, les Chasseurs - anciens occupants des lieux - ayant joué un rôle non négligeable au sein de la Résistance.
Seconde transcription, le panneau situé à l'angle des rues Joseph-Dessaix et de l'Intendance.

La série « Mémoires d'ici » propose des transcriptions de panneaux historiques et culturels situés à différents endroits d'Annecy. À l'approche de l'anniversaire de la libération d'Annecy et de la Haute-Savoie, je suis retourné faire un tour dans le quartier Galbert, pour reprendre en photos les différentes plaques et monuments qui s'y trouvent, les Chasseurs - anciens >> occupants des lieux - ayant joué un rôle non négligeable au sein de la Résistance.
Première transcription, avec l'ensemble de cinq panneaux sur la placette à l'angle de l'avenue de Genève et de la rue André-Fumex.

Au lendemain de la Grande Guerre, la « relance de l'économie », refrain obligé des discours politiques dominicaux, est une vraie préoccupation pour les élus locaux qui recherchent activement des solutions originales. Le 9 novembre 1922, le conseiller municipal Laurent Michaud propose à ses collègues d'imiter Paris, Lyon, Bordeaux, Leipzig, Munich et Zurich en créant, à Annecy, une foire-exposition. Cette idée est adoptée à l'unanimité.

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La guerre qui oppose la France à la Prusse et aux états allemands éclate en juillet 1870. En 43 jours de campagne, l'armée impériale est mise hors de combat. Il ne reste plus aux Français qu'à improviser une guerre de volontaires, de gardes nationaux et de francs-tireurs au cours de laquelle le jeune Annécien Victor Marie Curtat-Cadet, pas encore 19 ans, s'illustrera.

La série « Mémoires d'ici » propose des transcriptions de panneaux historiques et culturels situés à différents endroits d'Annecy, ainsi que des coupures de la presse locale et notamment la revue municipale de la ville d'Annecy, qui s'intéresse cette fois à une figure oubliée de la guerre Franco-prussienne de 1870-1871...

En 1886, Alexandre Eugène Duval (1860-1937), fils d'un opticien carpentrassien, ouvre un magasin d'optique rue Royale. Il se présente comme l'inventeur d'un verre de silex pour lunettes et se fait mondialement connaître comme fabricant de jumelles.

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En 1896, Max Ruphy crée la Chocolaterie des Marquisats. En 1907, son cousin Charles Ruphy lui rachète l'affaire et la baptise Chocolat d'Annecy. Sous son habile direction, l'entreprise prospère jusqu'à employer une centaine de personnes avant de décliner et de cesser toute activité en 1953.
Les Archives municipales d'Annecy consacrent actuellement [ndr: en 2016-2017] une exposition et un ouvrage à cette entreprise et à ses superbes affiches et objets publicitaires.

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En 1932, Daniel Baule et Jacques Fournier créent une biscuiterie à Annecy-le-Vieux qui régale les gourmands de la commune et d'ailleurs. Jusqu'en 1955, biscuits à la cuillère, boudoirs, biscuits champagne, madeleines et cakes sortent des fours de la pâtisserie située sur la place du chef-lieu et embaument les alentours.

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En 1916, Antoine Flamary (1860-1938) reprend la parfumerie Lisois-Ouiste, installée à Cran-Gevrier au Pont-Neuf depuis 1900, que son propriétaire Jean Ouiste met en vente pour cause de maladie. Ce laboratoire, de taille artisanale, fabrique des produits de beauté et d'hygiène sous la marque Parfumerie d'Annecy.

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En 1893, Marius Ferrero ouvre, au 1 rue Perrière, une petite épicerie, qu'il a l'idée d'approvisionner en fournitures utiles aux militaires. C'est donc chez lui que se servent les nombreux soldats en garnison à Annecy [ndr: 2'000 soldats environ sur une population de 14'000 habitants en 1909]. Pressentant un marché dans ce domaine, il crée, en 1906, deux unités de production basées au Mans et à Lyon.

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L'entreprise Cartex (Constructions d'Appareils Radio-Téléphoniques), qui fabriquait des appareils de mesures électriques et électroniques, a été créée en 1936 par Georges Friedrichs. Elle connaît un développement fulgurant sous le nom de Compagnie générale de métrologie (1946) et commercialise ses produits sous la marque Métrix. Cette belle aventure industrielle annécienne prend néanmoins fin en 2003.

La série « Mémoires d'ici » propose des transcriptions de panneaux historiques et culturels situés à différents endroits d'Annecy, ainsi que des coupures de la presse locale et notamment la revue municipale de la ville d'Annecy.

En juin 1944, plusieurs habitations du petit hameau des Puisots, dont la ferme Machenaud - repère de réfractaires et de maquisards - sont investies et pillées par les nazis, guidés par des miliciens locaux. Quatre hommes, dont un garçon de dix-sept ans, sont assassinés ou arrêtés puis brûlés vifs dans les bâtiments. Leurs épouses sont arrêtées sur la route montant au hameau et incarcérées à l'école Saint-François.

À l'occasion du 80^e anniversaire de ce tragique événement, je propose la transcription du fascicule « Jeudi 15 juin 1944, les Puisots, une tragédie ordinaire de la résistance en Haute-Savoie » édité en 2016 par le service communication de la ville d'Annecy, suite à la cérémonie du 70^e anniversaire en 2014, sous la plume du Général Jean-Marc de Giuli, délégué général du Souvenir français pour la Haute-Savoie.

La série « Mémoires d'ici » propose des transcriptions de panneaux historiques et culturels situés à différents endroits d'Annecy, ainsi que des coupures de la presse locale.

« Mémoires d'ici » propose des transcriptions de panneaux historiques et culturels situés à différents endroits d'Annecy, que je complète avec d'autres sources.

Je passe souvent par la rue de la Providence pour aller à mon travail, j'en profite donc pour transcrire les panneaux qui s'y trouvent et qui parlent principalement du lieu de création et de développement de l'ordre des Visitandines - œuvre de Jeanne de Chantal et François de Sales...

Au programme de cette lecture :