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Avant que Vegeta n'ait le temps de répliquer, un éclair fendit l'air. Le monstre avait déjà pivoté pour asséner un violent coup de pied dans le ventre du Saiyan. Le choc résonna dans l'air comme une explosion sourde. Vegeta fut projeté tel un boulet de canon, traversant les cieux à une vitesse hallucinante. Son corps, pourtant renforcé par la transformation, n'était plus qu'un jouet entre les mains de Cell.

Trunks⁽²⁾, observant la scène depuis le ciel aux côtés de Krillin, serra les poings. « Vegeta... ! »

Mais l'action n'était pas terminée. Cell, profitant de l'élan de Vegeta, apparut soudain derrière lui en une fraction de seconde. Son coude s'abattit avec une précision glaciale sur le dos de Vegeta, profitant de la vitesse de la projection pour augmenter la force de l'impact. Un craquement terrifiant résonna dans l'atmosphère, laissant les spectateurs terrifiés et impuissants. Était-ce l'armure de Vegeta qui se brisait sous le choc, ou ses os ? Le doute planait, mais une chose était certaine : le Saiyan était vaincu.

Le corps de Vegeta s'écrasa lourdement sur le sol, formant un cratère profond à l'endroit de l'impact. Ses cheveux dorés, symbole de sa fierté de Super Saiyan, reprirent lentement leur teinte noire alors que son énergie s'éteignait. Inconscient, le prince des Saiyans gisait maintenant à la merci de son ennemi.

Cell atterrit à côté de son adversaire battu, le regardant avec une étrange admiration. « Mais tu es encore vivant Vegeta ? Incroyable... Je me dois de te féliciter. »

Il tendit son bras droit, une boule d'énergie mortelle se formant à l'extrémité de sa paume, prête à achever le prince pour de bon. L'éclat du kikoha illuminait progressivement l'intérieur du cratère, alors que le destin de Vegeta semblait scellé.

Mais un cri intérieur résonna. Pas un cri audible, mais une explosion de détermination silencieuse. Trunks, dans les airs, fixait la scène avec des yeux écarquillés, encore sous le choc de la violente conclusion de cet affrontement. Son père, son modèle, venait d'être réduit à l'état d'un pantin brisé. Comment avait-il pu en arriver là ? Krilin, à ses côtés, sentit la gravité imminente de la situation.

« – Trunks ! Tu dois faire quelque chose, sinon Vegeta va... ! » commença-t-il, sa voix pleine d'urgence.

Mais Krilin n'eut pas le temps de terminer. Il réalisa, stupéfait, que Trunks était déjà en train d'entamer sa propre transformation. Son corps tremblait alors qu'il faisait circuler une quantité gigantesque de ki à travers chaque muscle, chaque fibre de son être. L'aura dorée qui l'entourait s'embrasait d'autant plus intensément, devenant presque tangible, une flamme vivante qui s'élevait dans les airs.

« – Tr... Trunks ??... » murmura Krilin, éberlué par l'immense pouvoir qu'il ressentait soudain.

Les cheveux de Trunks, noués en queue de cheval, furent libérés alors que l'énergie déchirait et brûlait le bout de tissu qui les maintenait attachés. Le volume de sa chevelure changea, les pointes de raidissant. Son aura, d'un doré éclatant, dansait autour de lui comme un incendie incontrôlable, projetant des éclats de ki dans toutes les directions. Des éclairs d'énergie crépitaient autour de lui, témoins de la densité du pouvoir qui parcourait son corps. Ses yeux se révulsèrent sous l'effet de la transformation, la douleur se mêlant à la rage. Chaque muscle de son corps se gonflait, sa stature changeant à vue d'œil. Trunks n'était plus le même. Il incarnait désormais le Super Saiyan daï san dankaï, une puissance brute poussée à son paroxysme.

Cell, en contrebas, sentit cette montée soudaine de ki. Sa tête se tourna vers Trunks, intrigué, puis surpris. Là haut, dans le ciel, se tenait un guerrier au corps imposant, irradiant une puissance qui semblait rivaliser avec celle de Cell lui-même.

Le combat venait de prendre une tournure inattendue. Le prince déchu gisait au sol, mais son fils, enragé et transformé, s'apprêtait à affronter la créature qui avait vaincu son père. Le vent se figea, le silence tomba. Un nouveau combat se préparait, et cette fois, Trunks était prêt à en découdre.

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Trunks tourna légèrement la tête vers lui, un sourire confiant se dessinant sur ses lèvres. « Oui, Krilin, je vais très bien. »

Sans plus attendre, Trunks glissa la main sous son armure, y cherchant quelque chose. Il en ressortit un haricot senzu, qu'il lança à Krilin avec assurance. « Prends ça, » dit-il d'une voix posée. « Emmène mon père chez Tortue Géniale et donne-lui ce senzu dès que possible s'il te plaît. »

Krilin hocha la tête, regardant le haricot au creux de sa main, mais ne put s'empêcher de demander, toujours soucieux : « Bien sûr. Mais... et toi Trunks ? Tu... tu en as encore un pour toi ? »

Un sourire se dessina sur les lèvres de Trunks, empli d'une confiance inébranlable. « Ça ira. Je n'en aurai pas besoin » répondit-il avec assurance. « Je vais gagner. » Ses mots résonnaient d'une conviction absolue, comme si aucune possibilité d'échec ne pouvait s'immiscer dans son esprit.

Depuis le sol, Cell observait la scène, ses yeux fixés sur Trunks, jaugeant le jeune Saiyan. Est-ce bien le même Trunks que celui que j'ai rencontré dans ma ligne temporelle ? se demandait-il, perplexe devant cette différence flagrante. Ce Trunks semblait bien plus puissant, bien plus sûr de lui. Cell pouvait déjà sentir que le potentiel de Trunks n'était pas encore entièrement déployé. Quelle force ! Il a vraiment un énorme potentiel !

Son assurance débordante n'était pas feinte, Trunks était convaincu que sa force suffirait à écraser Cell. Il regarda Krilin une dernière fois, lui faisant signe de partir, puis se laissa doucement descendre vers l'île en contrebas, là où Cell se tenait. Trunks savait pertinemment que, dans cet état, la question de survivre ne se poserait même pas. Les quelques secondes où il flottait dans l'air furent traversées par un torrent de pensées qui s'entrechoquaient dans son esprit, maintenant focalisé sur le combat imminent, ne pouvant s'empêcher d'imaginer sa victoire. Cell n'a aucune chance, se répétait-il. Chaque cellule de son corps vibrait de cette certitude.

Lorsqu'il toucha le sol, son épaisse aura tempétueuse souleva des nuages de poussière et de gravillons autour de lui, déstabilisant légèrement le terrain ravagé de l'île. Il dispersa alors l'aura de ki autour de lui, le comprimant dans son corps, et un petit frisson parcourut son être, lui procurant une sensation euphorique, presque intime, une forme de plaisir qu'il n'avait jamais ressenti auparavant en faisant quelque chose d'aussi anodin que réprimer son aura. Ce sentiment de contrôle absolu, de domination sur son propre corps, était grisant. Trunks eut un léger sourire. Tout en lui résonnait d'une confiance tranquille. Trunks avança d'un pas décidé en direction de son ennemi.

Le regard de Trunks se planta dans celui de Cell, qui se tenait toujours aux côtés du corps inanimé de Vegeta. Trunks inspira, ses yeux brillaient de détermination, puis prononça d'une voix ferme et implacable : « Cell... je vais te tuer. »

Cell sourit, amusé par cette assurance soudaine. « Oh vraiment ? » ironisa-t-il, l'air moqueur. « Et d'où te vient cette soudaine confiance, mon cher Trunks ? » L'ironie dans sa voix était évidente, et il n'avait pas quitté sa position, comme s'il n'accordait encore que peu d'importance à la menace de Trunks.

Trunks avançait lentement, chacun de ses pas ancrant un peu plus son assurance. À chaque mètre parcouru, il prenait le temps de sentir ses muscles se tendre et se relâcher. Il haussa les épaules pour ajuster les bretelles de son armure, leva ses bras, étirant ses épaules et faisant de petits moulinets pour aligner son corps avec cette nouvelle musculature. Ses épaules larges, ses pectoraux massifs, l'épaisseur de ses cuisses et de ses biceps étaient parfaitement calibrés pour la bataille. À chaque mouvement, il sentait le contact de son armure autour de son buste et les frottements du tissu moulant contre sa peau aux bras et aux jambes, la circulation de l'air entre les rares interstices où l'élasticité de son vêtement ne pouvait garder le contact avec son épiderme.

Il ressentait chaque partie de lui avec une acuité nouvelle : la largeur de son bassin, l'épaisseur de ses cuisses massives, la tension de ses muscles gonflés sous sa tenue. Son esprit s'égarait parfois, s'amusant presque du bref instant de satisfaction qu'il ressentait jusque dans les recoins les plus intimes de son être alors que les battements de son puissant cœur délivrait son sang dans tous son corps – une jouissance physique presque dérangeante, comme amplifiée par cette transformation. Trunks imaginait déjà l'excitation de la victoire. Après Cell, ce sera au tour de C-17 et C-18 dès que je rentrerais dans ma ligne temporelle. Le champ des possibles s'ouvrait devant lui, exaltant son esprit combatif de Saiyan.

Cell, de son côté, pivota son corps en direction du Saiyan et se mit finalement en marche, souriant toujours, avançant d'un pas calme et assuré. Le simple fait qu'il se détourne de Vegeta sans l'achever confirmait qu'il le laissait à son sort. Les deux titans s'approchaient l'un de l'autre, leurs regards ne se quittant pas. Chacun jaugeait l'autre, sans un mot.

Ils se rejoignirent à mi-chemin. Désormais quasiment de la même taille grâce à sa transformation, Trunks pouvait croiser le regard de Cell à la même hauteur. Trunks n'avait plus rien du jeune homme frêle d'autrefois, il se percevait même comme la Némésis des cyborgs. Pendant encore quelques secondes, ils se toisaient, sans échanger un mot, chacun mesurant la force de l'autre.

Le monde semblait s'être figé autour d'eux, suspendu à l'explosion de puissance qui allait inévitablement suivre.

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Profitant de cette ouverture, Cell se positionna en dessous du Saiyan, les pieds fermement ancrés dans le sol, et serra le poing. Le coup partit comme une balle, s'enfonçant profondément dans le ventre de Trunks. La force du coup déforma l'armure du Saiyan, permettant au poing de Cell de s'enfoncer jusqu'au poignet dans les muscles tendus du jeune guerrier. Trunks, les yeux écarquillés de surprise et de douleur, fut soulevé par l'impact. Une giclée de salive s'échappa de sa bouche grande ouverte, preuve de la violence du coup.

Sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, Cell pivota habilement sur un pied et, dans une rotation fluide, décocha un coup de pied en plein dans les pectoraux massifs de Trunks. Le coup était si puissant que Trunks fut projeté à travers l'air, traversant plusieurs dizaines de mètres avant de s'écraser lourdement sur le sol rocailleux, glissant sur plusieurs mètres sous l'effet de son propre poids.

Les quelques secondes qui suivirent furent marquées par un silence. Trunks, le souffle court, sentit son corps se stabiliser après cette glissade sur les fesses et les coudes. Malgré la violence de l'attaque, dévastatrice en apparence, il remarqua avec surprise qu'il n'avait finalement presque rien senti. Son armure de combat avait absorbé une partie du choc, mais ce qui le surprenait le plus, c'était la résistance de son propre corps. Ses muscles hypertrophiés avaient dissipé une grande partie de l'impact, le rendant presque insensible à la douleur. Un sourire naquit sur ses lèvres. C'est bien pratique, pensa-t-il.

Allongé sur le dos, Trunks ne perdit pas une seconde. Il roula avec agilité, se redressant d'un bond puissant au moment où Cell fondait déjà sur lui depuis les airs. Le monstre n'avait pas l'intention de le laisser souffler. Un autre coup s'abattit sur lui, et cette fois encore, Trunks l'encaissa tout en reculant de quelques mètres, sentant à peine l'impact, mais simulant une grimace de douleur.

Ce fut le début d'un enchaînement rapide, un ballet d'attaques et de parades où aucun des deux adversaires ne parvenait à prendre l'avantage. Leurs poings s'entrechoquaient, les coups fendaient l'air avec une précision et une force ahurissantes. Chaque impact résonnait comme un coup de tonnerre, secouant le sol autour d'eux. Trunks et Cell semblaient engagés dans une danse brutale, ni l'un ni l'autre ne cédant le moindre pouce de terrain.

Les minutes passèrent, le rythme s'intensifiait, mais aucune ouverture décisive ne se présentait à l'un comme à l'autre. Finalement, dans un mouvement plus rapide qu'un éclair, Cell décocha un coup de coude vicieux dans le pectoral droit de Trunks. L'impact projeta à nouveau le Saiyan en arrière, le repoussant de plusieurs mètres.

Pendant ce temps, à bonne distance du champ de bataille, Krilin – qui observait tout en restant caché – décida que c'était le moment d'agir. Il fit discrètement le tour de l'île, sa petite silhouette se glissant entre les rochers et les débris, jusqu'à atteindre le cratère où gisait Vegeta, inconscient. Krilin jeta un coup d'œil vers Trunks, inquiet. Mais lorsque leurs regards se croisèrent, le jeune Saiyan lui fit un clin d'œil, une manière discrète de lui dire qu'il tenait bon – et que Krilin pouvait s'occuper de Vegeta.

Sans perdre une seconde, Krilin hocha la tête et s'approcha du prince des Saiyans. Avec précaution, il passa les bras de Vegeta par-dessus ses épaules et le souleva, son corps lourd retombant contre lui. La tâche était difficile, mais Krilin connaissait l'importance de ce moment. Il ne pouvait pas laisser Vegeta ici. Portant le Saiyan inconscient sur son dos, il s'éloigna rapidement, s'envolant en direction de l'île de Tortue Géniale, là où il savait que Vegeta pourrait récupérer en toute sécurité.

Trunks, même au cœur du combat, remarqua son ami s'envoler avec son père sur son épaule. Un sentiment de soulagement traversa son esprit. Il avait réussi à détourner suffisamment l'attention de Cell pour permettre à Krilin de mettre Vegeta en sécurité.

Mais maintenant, c'était son tour. Face à lui, Cell le regardait toujours, un sourire mauvais aux lèvres. Le Saiyan, quant à lui, reprit son souffle, son cœur battant avec une intensité nouvelle. Il serra les poings, son regard s'illuminant d'une détermination inébranlable.

Il était temps de montrer à Cell ce qu'il valait vraiment. Il se laissa volontairement frapper, de sorte à casser le rythme de l'affrontement. Il fut à nouveau projeté au sol et glissa jusqu'à percuter et détruire une barre rocheuse, ce qui arrêta sa course...

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Un silence pesant s'installa, seulement troublé par le crépitement de l'énergie de Trunks. Mais Cell, toujours souriant, rompit le calme avec son ton moqueur.

« – Ca y est, nous sommes seuls, Vegeta est à l'abri, tu vas pouvoir arrêter ton cinéma ! » dit-il, un sourire narquois étirant ses lèvres.

Trunks, qui se voulait imperturbable, ne put s'empêcher d'afficher une expression de surprise. Mais cette réaction ne dura qu'une seconde. Son visage retrouva bien vite sa concentration froide. Il scruta Cell avec méfiance avant de demander : « Tu savais ? Mais... Je ne pensais pas que te le laisserais partir... Pourquoi tu as laissé faire ? »

Cell haussa légèrement les épaules. « Cette loque ? Quelle importance ? Les déchets n'ont aucun intérêt pour moi, » répondit-il calmement. « Ce qui m'amuse, c'est ce que j'ai dorénavant devant moi, une source de distraction nouvelle. »

Le silence retomba. Trunks, bien qu'immobile, sentait la tension croître entre eux. Ses muscles se crispèrent, et les veines de ses tempes se firent plus visibles sous la pression de l'énergie qui bouillonnait en lui. Son regard perça celui de Cell, déterminé. « Je suis ici pour en finir avec toutes les créations du Dr. Gero, et tu ne feras pas exception. »

Cell, sans perdre son sourire suffisant, répliqua avec désinvolture. « Je suis ici pour prouver la supériorité de mon corps parfait. Je vais enfin connaître l'étendue de sa puissance. »

Ces paroles firent grincer des dents à Trunks. Ses poings se serrèrent si fort que ses articulations craquèrent. Il libéra alors tout son ki dans un rugissement guttural, une explosion d'énergie qui fit vibrer l'air autour d'eux. Son corps, déjà impressionnant, se mit à grandir encore davantage. Ses muscles se gonflèrent de manière titanesque. Il dépassait désormais la créature d'une tête entière, presque deux^(4.2). L'aura qui l'entourait crépitait violemment, projetant des gerbes de ki dans toutes les directions comme un volcan en éruption.

Trunks, de toute sa grandeur, triomphait. Sa respiration lourde marquait la fin de cette transformation ultime. Il leva le poing gauche – pouce en l'air – pointant sa nouvelle stature colossale, sans se soucier de l'imitation de son père qu'il donnait à voir. « Regarde Cell... La voilà... C'est ça, la véritable puissance des Saiyans, ma véritable puissance. »

Au loin, Krilin, qui s'éloignait rapidement en direction de chez Tortue Génial, ressenti un frisson le long de son échine. Même à cette distance, il pouvait sentir l'immense ki qui émanait de Trunks. Il décida de s'arrêter sur une petite île déserte à proximité, posant Vegeta à même le sol. Le ki de Trunks était trop impressionnant pour qu'il puisse l'ignorer. Il désirait suivre le combat, car il pouvait imaginer chaque action en fonction de chacun des mouvements de ki.

Pendant ce temps, Cell ne se démonta pas. Il observa cette transformation avec un air amusé. Puis, après un long silence, il laissa échapper un petit rire, qui résonna dans l'air. « Impressionnant, vraiment... en effet, tu es bien plus fort que moi..., »⁽⁵⁾ finit-il par dire, son sourire s'étirant encore plus. « Mais tu as beau avoir toute cette force, toute cette puissance... tu ne pourras jamais me vaincre. Jamais. En aucune manière. »

Trunks, encore en train de savourer cette nouvelle forme, fut d'abord surpris. Les paroles de Cell le laissèrent bouche bée. Comment cet être pouvait-il encore être si sûr de lui face à une telle démonstration de puissance ? Mais ce moment de doute ne dura qu'un instant. Trunks secoua la tête, se ressaisissant rapidement.

Il pouffa malgré lui, tentant de se contenir. « Tu dois être en train de délirer, Cell, c'est complètement contradictoire ton histoire. Est-ce que c'est ta manière de tenter de me déstabiliser ? » demanda-t'il en levant un sourcil, comme agacé. « N'importe quoi ! Tu sais aussi bien que moi que je suis bien au-delà de ce que tu peux gérer. » Sa voix était imprégnée d'un orgueil démesuré.

« – Cette fois, Cell, tu ne t'en sortiras pas, » déclara-t-il, en fixant l'être parfait avec des yeux pleins de certitude. « Tu n'as pas froid aux yeux... » souffla le monstre, arborant un sourire énigmatique. Dans son regard se lisait une assurance froide, comme s'il disposait d'une information essentielle que Trunks ignorait.

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Les impacts successifs créèrent une tempête de feu. L'atmosphère semblait vibrer sous la puissance des explosions, et le ciel autour d'eux se couvrit d'un nuage brûlant de cendres. Trunks s'arrêta un instant, suspendu dans les airs, fixant le nuage de cendres en face de lui. Sa respiration, encore calme malgré l'intensité du moment, marquait sa certitude d'avoir porté un coup décisif.

Mais lorsque la fumée commença à se dissiper, un frisson d'incertitude traversa le Saiyan. Le ciel, dégagé à nouveau, ne laissait aucune trace de Cell. Trunks fronça les sourcils, légèrement surpris. Qu'est-ce que ça veut dire !? Il est où ? L'aurait-je vraiment désintégré avec une technique aussi simple ? Cela lui semblait improbable.

Avant qu'il ne puisse réagir, un coup soudain et brutal le propulsa en avant. Un coup de pied, venu de derrière, botta littéralement son postérieur rebondi avec une force saisissante. Le monstre avait profité de l'écran de fumée pour le contourner en silence, ses ailes agissant comme un voile furtif.

Mais Trunks n'était pas du genre à rester vulnérable longtemps. Sans perdre de temps, il se ressaisit dans les airs, se retournant d'un mouvement fluide. Il imita la manœuvre de Cell, contournant rapidement le monstre avant de lui rendre la pareille : un coup de pied cinglant dans le dos qui projeta le monstre en avant. Trunks, le visage marqué par une excitation montante, ne comptait pas en rester là.

Alors que Cell fendait l'air en ligne droite, Trunks le dépassa à toute vitesse et l'arrêta net dans sa course d'un coup de poing puissant dans la joue. Les échanges devinrent féroces. Trunks, enchaînant coup après coup, sentait une montée d'excitation inédite. Chaque impact de ses poings sur le corps de Cell résonnait dans l'air comme un tonnerre. Le bruit de la chitine frappée amplifiait ce sentiment grisant. Un mélange d'adrénaline et de plaisir commençait à s'emparer de lui. Il déchaînait toute sa force, sans retenue.

Un rictus de satisfaction se dessina sur son visage alors qu'il chargeait du ki dans son poing droit. Il savait que ce coup serait décisif. « Super God Hammer Fist ! » hurla-t-il, alors que son poing, chargé de ki, s'abattait sur le centre de la poitrine de Cell, directement dans ce qui lui avait semblé être son point faible dans sa seconde forme, cette pièce quasi triangulaire au milieu de son torse. Cell ne fait pas le poids pensa-t-il, alors que l'impact fit trembler l'air autour d'eux, mais Trunks n'en avait pas fini.

Le monstre semblait effectivement sonné. Dans un mouvement immédiat, sans reculer, il libéra un puissant kikoha qui frappa Cell de plein fouet, l'expédiant vers le sol. Le corps du monstre s'écrasa avec une violence inouïe, creusant un cratère au point d'impact, avant que l'explosion du kikoha ne retentisse, secouant l'île entière, projetant des débris dans toutes les directions.

Trunks, suspendu dans le ciel, dos droit, bras croisés, observait la scène en silence. Son visage exprimait une confiance inébranlable. Il sentait que cette fois, Cell ne pourrait pas s'en relever.

Mais, contre toute attente, une silhouette émergea lentement de la poussière de roche. Cell, à peine égratigné, se redressa avec une nonchalance déconcertante. Il essuya le coin de sa bouche d'un revers de main, crachant une giclée de salive mêlée de sang sur le côté. Son regard était toujours aussi froid, mais son sourire n'avait pas disparu.

« – Je t'ai prévenu, mon cher Trunks. Peu importe la force que tu déploies, tu ne pourras jamais me vaincre, » réitéra-t-il, un brin de moquerie dans la voix.

Trunks sentit une vague de frustration monter en lui. Ses dents se serrèrent, son visage se contractant sous la colère. Comment cela pouvait-il être possible ? Il venait de libérer une attaque d'une puissance phénoménale, et pourtant, Cell se tenait toujours là, presque indemne, et fanfaronnait qui plus est !

La tension montait à vue d'œil. Ses poings se refermèrent si fort que ses jointures craquèrent à nouveau. L'aura dorée qui entourait son corps dansait avec plus de frénésie, pulsant d'énergie, reflétant sa rage intérieure. Des éclairs de ki éclataient sporadiquement autour de lui, comme s'ils reflétaient la tempête d'émotions qui grondait dans son esprit.

La colère de Trunks n'était plus seulement dirigée contre Cell. Elle était aussi tournée contre lui-même, contre cette puissance qui semblait, malgré son immensité, insuffisante pour abattre cet ennemi. Le monstre, de son côté, ne perdait jamais son sourire narquois, comme s'il savourait chaque seconde de la frustration de son adversaire.

Trunks, ses yeux brillants de détermination et de rage, savait qu'il devait tout donner pour briser cet ennemi.

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Les échanges de coups recommencèrent, mais quelque chose avait changé. Trunks, bien que toujours aussi puissant, commençait à perdre en précision. Ses frappes, auparavant incisives, manquaient désormais leur cible de quelques millimètres. Puis de quelques centimètres. Peu à peu, Cell prit l'avantage. Sa vitesse et son agilité surpassaient celles de Trunks – qui se voyait contraint de reculer, de plus en plus en défense. Les coups de poing de Cell, toujours plus rapides et plus précis, s'écrasaient contre les gros muscles des avant-bras de Trunks, qui ne pouvait que parer et se protéger avec son corps.

Le rythme du combat s'accélérait, et Trunks commençait à comprendre qu'il y avait un problème sérieux. Chacun de ses mouvements à lui semblait plus lent, plus laborieux. Il était déjà en train de passer plus de temps à parer les coups qu'à attaquer. Et, malgré ses efforts pour reprendre l'avantage, il ne parvenait à rien de concret. La fatigue commençait à s'installer, ses avants-bras s'engourdissaient à force de prendre des coups, mais son orgueil le poussait encore à passer outre, et à continuer coûte que coûte.

Cell, avec sa précision redoutable, repéra immédiatement cette faiblesse. Alors que Trunks se protégeait derrière ses bras – presque plaqués sur son buste et son visage – Cell, rapide comme l'éclair, décocha un coup de pied dans son vaste latéral. La douleur foudroyante à la cuisse obligea Trunks à écarter les bras par réflexe, offrant à Cell une ouverture. Profitant de cette opportunité, le monstre enchaîna immédiatement des coups rapides au niveau des deltoïdes et des biceps de Trunks, brisant totalement la défense de son adversaire.

Trunks tenta de reculer pour remettre de la distance et reprendre le contrôle de ses bras – encore tétanisés par les coups judicieusement placés – mais Cell le suivit de près, frappant directement son armure sans pour autant abandonner les coups sur les faces internes de bras de son adversaire. Chaque coup résonnait dans le corps du Saiyan, et cette fois, ce n'était plus la simple force de Cell qui inquiétait Trunks. Il ressentait désormais pleinement la douleur de chaque impact. Les coups de poing s'abattaient sur son abdomen, lui coupant le souffle, et une panique grandissante commençait à s'emparer de lui.

La douleur était réelle – intense même – et elle se propageait à travers tout son corps. Ses pensées s'embrouillaient, cherchant une issue, un moyen de reprendre le contrôle. Mais chaque seconde qui passait, Cell resserrait son emprise. Un coup de poing plus profondément enfoncé dans le ventre lui coupa la respiration, suivi d'un crochet du gauche dans la joue, puis d'un direct du droit dans le nez. Trunks tenta de se ressaisir, mais ses mouvements étaient de plus en plus maladroits – il était sonné et désorienté.

Le visage de Trunks se déformait sous l'effet de la panique. Merde ! Comment... Comment est-ce possible ? Ses pensées se bousculaient alors que Cell le martelait sans relâche. Deux crochets frappèrent l'un après l'autre ses joues avec une violence effrayante. Pris d'un haut-le-cœur, Trunks sentit la salive régurgitée à cause des coups s'accumuler derrière ses dents, qu'il refusait de desserer malgré la douleur. Elle emplie totalement sa bouche jusqu'au fin fond de sa gorge. Incapable de la retenir plus longtemps, il la recracha d'un seul coup, gâchant ainsi la brève pause que Cell venait de faire pour un geste aussi banal. Avant qu'il ne puisse reprendre ses esprits, le monstre frappa avec sa paume sous son menton, projetant brutalement la tête du Saiyan en arrière, Trunks livrant alors sa poitrine au monstre.

Et ce fut à cet instant, dans une synchronisation glaciale, que Cell abattit violemment son coude sur la poitrine de Trunks. Le coup s'enfonça dans l'interstice inter-pectoraux⁽⁶⁾ de haut en bas, au plus profond de sa chair, avec une violence inouïe. La douleur fut foudroyante, irradiant dans tout son corps. Sous l'impact, Trunks loucha, ses lèvres se retroussèrent, sa bouche se tordant en une grimace grotesque et s'ouvrant de plus en plus grand. Son souffle se coupa net, et un cri muet lui échappa, suivi d'une épaisse giclée de sang qui s'échappa de sa bouche pour la première fois.

Le choc parcourut tout son être, non seulement physique, mais mental. La réalité de sa situation le frappait de plein fouet. Il n'était pas invincible. Malgré toute sa puissance, toute son arrogance, il commençait à comprendre que Cell n'était pas un simple adversaire à vaincre avec la force brute. Il avait sous-estimé la technique, la maîtrise et la malice du monstre.

Trunks vacillait, son souffle court, son corps meurtri. Il regardait Cell, son visage déformé par la frustration et la douleur. La danse de son aura dorée avait perdu de son éclat, et chaque mouvement pour tenter d'échapper à Cell – ne serait-ce que quelques secondes – devenait plus lourd, plus difficile. Cell, lui, le fixait toujours avec ce sourire suffisant, comme un prédateur qui joue avec sa proie.

La bataille intérieure de Trunks venait de commencer.

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Trunks, étourdi et souffrant, se releva mais du poser ses mains tremblantes sur ses genoux à mi-course. Son souffle court et saccadé trahissait l'état de son corps, exténué par les coups incessants de Cell. Il prit quelques secondes pour évaluer l'étendue des dégâts. Chaque parcelle de son corps, autrefois impressionnante et puissante dans cette forme de Super Saiyan daï san dankaï, était marquée par les coups de Cell. Des empreintes profondes de poings et de pieds jonchaient ses muscles hypertrophiés, comme les cicatrices en creux d'une bataille qu'il était en train de perdre.

Son armure, qui avait toujours été un symbole de fierté, ne ressemblait plus qu'à une masse déformée. Le motif de la plaque ventrale, composé de larges bandes horizontales, avait été tordu et vrillé sous les assauts impitoyables de Cell. Chaque coup du monstre avait fait plier la matière de l'armure sous la force, et avait touché directement ses tissus musculaires.

Trunks, redressant la tête jusqu'à voir au dessus du rebord du cratère, aperçut Cell qui marchait tranquillement vers lui, impassible, implacable. Il avançait avec une assurance terrifiante, comme s'il savait que le combat était déjà gagné. Le Saiyan tenta de garder son calme, mais la frustration grandissait en lui comme un feu inextinguible.

Je ne peux pas perdre, pas comme ça... pensa-t-il avec désespoir.

Avec un dernier éclat de fierté, il réactiva son aura, une flamme dorée s'embrasant de nouveau autour de lui. Il puisa dans ses ultimes réserves de ki, persuadé que plus de puissance serait la clé de sa victoire. Les impacts dans sa chair furent effacés par la nouvelle augmentation de volume – son armure repris aussi son apparence d'origine, comme un tissu que l'on défroisse. Son ki explosa avec une telle intensité que le cratère autour de lui fut gommé, provoquant une onde de choc qui fendit le sol dans toutes les directions. Le sol se morcela, l'île déjà en ruines subissant encore plus de destruction sous la montée de son pouvoir.

Mais dans sa rage aveugle, Trunks ne réalisa pas un fait crucial : cette nouvelle poussée de puissance le rendait encore plus lent et moins précis. Ses muscles se gonflaient à tel point qu'ils freinaient ses mouvements. La lourdeur de son corps devenait un fardeau.

Sans réfléchir d'avantage, Trunks se rua sur Cell, déterminé à frapper de toutes ses forces. Mais il n'atteignit rien d'autre que le sol, son coup détruisant un rocher derrière a position où Cell se tenait un instant plus tôt. Trunks se redressa, haletant, la sueur coulant à flots de son visage. Il se tourna frénétiquement, cherchant des yeux son adversaire derrière lui, à gauche, à droite, à nouveau derrière.

Cell, avec une aisance effrayante, réapparut derrière lui. D'un coup rapide et précis, il frappa Trunks à la tempe avec le plat extérieur de sa main, un coup net qui laissa Trunks paralysé par le choc. Son corps se figea, son esprit vacillant, la vue trouble. Son cerveau venait-il vraiment de rebondir à l'intérieur de sa boîte cranienne ? La douleur l'envahissait, mais ce n'était rien comparé à ce qui suivit.

En un instant, Cell lui infligea une clé de bras parfaitement exécutée. Les muscles hypertrophiés de Trunks, si impressionnants en apparence, devinrent une faiblesse. Leur taille démesurée bloquait déjà certains mouvements pourtant naturels pour le commun des mortels, amplifiant la douleur de la prise. Trunks se retrouva piégé, son propre corps devenu une salle de torture. La pression exercée sur son bras était insupportable, et il sentit la panique monter en lui comme jamais auparavant.

Ses yeux, habituellement emplis de détermination, se remplirent des larmes naissantes. La douleur, la frustration, et surtout l'impuissance face à cette technique si simple mais si efficace, le submergeaient. Il tenta de résister, mais chaque mouvement ne faisait qu'aggraver la douleur. À nouveau, l'aura autour de son corps de dissipa, mais après une diminution progressive, comme si le Saiyan était en panne sèche de ki.

Cell, sans une once de pitié, resserra encore la prise, un sourire narquois aux lèvres. Trunks haletait, désespéré, ses gémissements devenant de moins en moins audibles. Il n'aurait jamais imaginé que ce combat tournerait ainsi, que ce corps qu'il avait si ostentatoirement exhibé deviendrait l'instrument de sa propre perte.

Les larmes montaient de plus en plus, brûlant ses yeux alors qu'il sentait son esprit vaciller. Il était sur le point de craquer.

« – Alors, mon cher Trunks, c'est tout ce que tu as ? » murmura Cell, son souffle glacial résonnant aux oreilles de Trunks. « Toute cette puissance... pour finir comme ça ? »

Ces mots résonnaient dans l'esprit de Trunks, brisant peu à peu sa volonté. Il réalisa qu'il avait commis une erreur fatale : celle de croire que la force brute suffirait à vaincre Cell. Son ego l'avait conduit à ce moment, à cet instant de vulnérabilité absolue.

Pour la première fois depuis son combat face aux cyborgs C-17 et C-18 dans sa ligne temporelle alors qu'il n'était qu'un adolescent, Trunks se sentit vraiment faible.

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Le dernier coup de poing dans son abdomen fut celui qui brisa cette résilience stoïque. Trunks se plia en deux, un cri muet étouffé par la douleur qui déferlait dans tout son corps. Il agrippa instinctivement son ventre, sentant une vague de souffrance se propager à travers ses entrailles. Son souffle était court, haletant, et il gardait la bouche ouverte, comme s'il allait vomir tripes et boyaux d'un instant à l'autre. Il manqua de s'effondrer à genoux sous l'ampleur de la douleur.

Mais Cell, tel un automate de guerre, ne ralentit pas. Avant que Trunks ne plie les genoux au point de tomber à terre, le monstre s'accroupit devant lui, prenant appui sur ses bras et, dans un mouvement vif et précis, lui asséna un double coup de pied dans la poitrine. Le Saiyan fut projeté en l'air, son corps volant à travers le ciel avec une posture et une trajectoire désespérément similaire à celle qu'avait empruntée Vegeta avant lui.

Dans cette fraction de seconde où Trunks était suspendu dans les airs, une pensée le frappa de plein fouet : Je... je vais finir comme mon père ?...

Mais malgré la panique qui s'emparait de lui, son corps refusait de réagir. Il se sentait impuissant, incapable de se défendre, de riposter, même de tenter de se réorienter. Il comprenait maintenant pourquoi son père n'avait rien tenté. Le vide l'aspirait, mais ce vide était rapidement rempli par l'ombre de Cell, qui le rattrapa en plein vol.

Sans perdre un instant, Cell agrippa la nuque de Trunks de sa main gauche et le saisit par la ceinture de son armure de sa main droite. Il tenait le guerrier Saiyan comme un vulgaire sac de patates... Un premier coup de genou s'enfonça brutalement dans son ventre, coupant encore plus son souffle déjà haletant. Puis un autre, puis encore un autre. Les impacts étaient d'une violence inouïe, chaque coup semblant plus fort que le précédent.

Le dernier coup de genou de Cell fut si puissant qu'une bosse se forma dans le dos du Saiyan, sous l'effet de l'onde de choc qui traversa son corps. Trunks hurla de douleur, un cri inhumain qui résonna dans l'air. C'était un hurlement d'agonie, le cri d'un guerrier qui se voyait peu à peu réduit à l'impuissance. Cell ne le retenait plus, et Trunks n'usait pas de sa capacité à voler, pourtant il ne tombait pas. La gravité semblait impuissante face à l'onde de choc qui continuait à le tirer vers le haut...

Cell, le regard froid et calculateur, leva alors ses deux poings au-dessus de sa tête, les joignant en une position de marteau. Avec une force implacable, il les abattit dans le dos de Trunks, l'expédiant violemment vers le sol. Le corps du jeune guerrier fut projeté à une vitesse vertigineuse. L'impact qui suivit ébranla toute l'île.

La terre se souleva sous la puissance de la collision, une nouvelle explosion retentissant, faisant trembler ce qui restait des montagnes. Le sol se craquela autour du point d'impact, envoyant des fragments de roche dans toutes les directions. Un immense nuage de poussière s'éleva vers le ciel, masquant la scène pendant de longues secondes.

Le silence qui suivit fut assourdissant. Rien ne bougeait. Même le vent, qui soufflait encore quelques instants auparavant, s'était tu, comme figé dans l'horreur de ce qui venait de se passer. Trunks gisait quelque part sous cet amoncellent de débris de roches, perdu dans l'ampleur de la destruction.

Le jeune Saiyan, autrefois empli d'orgueil et de puissance, était maintenant écrasé sous le poids de la réalité. Il avait cru que sa force brute serait la clé de sa victoire, mais face à Cell, cette force n'avait été qu'une illusion. Le combat n'était plus seulement une question de puissance ; il était devenu une leçon douloureuse sur la vraie nature de la guerre, de l'endurance, et de l'esprit.

Et dans cet instant de silence, alors que la poussière commençait à retomber, il ne restait plus que la douleur, la frustration et l'écho d'un cri de détresse qui résonnait encore dans les airs.

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Son regard, vidé de toute fierté, se tourna vers le ciel. Là-haut, Cell flottait toujours, immobile, observant son adversaire avec une condescendance glaciale. Le monstre, dominant physiquement, le scrutait de haut, littéralement et figurativement. Finalement, Cell décida de descendre, se posant à une cinquantaine de mètres de Trunks, un sourire narquois aux lèvres. Trunks, partagé entre le soulagement de voir le déferlement de coups s'arrêter et la peur du prochain mouvement imprévisible de Cell, restait immobile. Ses pensées étaient embrouillées, mais il savait que le prochain coup pourrait bien être le dernier.

Cell se moqua de lui, un rire plein de condescendance résonnant dans l'air. « Tu n'as tenu compte que de ta nouvelle force obtenue en te transformant ! Quelle naïveté. Tu n'es qu'un gamin sans jugeote, Trunks. »

Trunks, à bout de souffle, serrait les dents, mais ses bras restaient inertes, et il était bien incapable – voire n'était pas en position légitime – de formuler la moindre réplique. Une nouvelle onde de choc dévastatrice se propagea autour de Cell. L'île, déjà ruinée par leur affrontement, trembla de nouveau sous la montée en puissance du monstre. Le corps de Cell gonflait sous la pression, ses muscles se développant d'une manière grotesque. Son épaisse chitine semblait craquer sous la pression de ces énormes muscles sous-jacents. Sa forme imposante rappelait désormais étrangement celle du Super Saiyan daï san dankaï de Trunks. Après tout, Cell possédait l'ADN des plus grands guerriers Saiyans – Vegeta et Son Gokû – et il semblait capable de reproduire la transformation de ses modèles.

« – Tu vois, Trunks, » commença Cell en jetant un regard méprisant à son propre corps, « cette forme... N'importe quel imbécile peut l'atteindre. Elle n'a rien de spécial. Seulement de la force brute, sans finesse. »

Dans un nuage de poussière et de gravats, Cell se rua vers Trunks à une vitesse surprenante pour sa corpulence gigantesque. En un instant, il l'enserra entre ses bras puissants, dans une étreinte brutale, semblable à un Bear Hug. Trunks sentit son armure craquer sous la pression, déformée par la force écrasante de Cell. Mais pire encore, il ressentit la compression de ses muscles, chaque fibre de son corps criant sous la douleur de cette emprise implacable.

Étrangement, cette situation déclencha une réaction inattendue chez le jeune Saiyan. Alors que son corps était comprimé sous cette terrible pression, une sensation jouissive traversa son corps. C'était un plaisir grotesque, une réaction purement physique liée au déplacement soudain et massif de sang dans son corps - jusque dans son entre-jambe. Ce n'était pas un plaisir volontaire, mais une ultime extase sensorielle – une souillure intime et confidentielle sanctionnant son hybris – mais qui s'ajoutait à la somme d'humiliations qu'il venait de subir.

Cell, son visage à quelques centimètres de celui de Trunks, murmura avec mépris : « Tu n'es qu'un idiot. La force brute ne mène à rien sans vitesse, sans agilité. Voilà pourquoi tu as perdu. »

Après une dernière pression, Cell relâcha son étreinte et rompit sa transformation. Son corps retrouva sa forme et taille initiales, mais le sourire suffisant sur son visage restait. Le Saiyan – désemparé et brisé – laissa sa transformation s'évanouir de son corps, son ki s'éteignant progressivement, abandonnant finalement cette forme qui lui avait coûté si cher. Ses lèvres tremblantes laissèrent échapper les mots qu'il n'aurait jamais imaginé dire, à peine audibles, chargés de honte et d'épuisement.

« – Je... J... J'abandonne... » murmura-t-il, vaincu. C'est pour ça que mon père n'a pas eu recours à cette transformation, il avait sûrement anticipé le problème, pensa-t'il. « Je n'ai plus aucune chance de gagner... Tue-moi ! »

Cell, un sourire triomphant aux lèvres, le regarda s'effondrer mentalement. Il jubilait, savourant chaque seconde de la soumission de Trunks. Mais malgré sa victoire, il savait que ce combat, aussi humiliant pour le Saiyan qu'il fût, n'était pas la preuve définitive qu'il recherchait. Trunks n'avait jamais été un véritable rival. Ce n'était qu'un jouet pour tester ses propres capacités. Ce combat n'était pas la preuve ultime de sa supériorité.

« – Amusant ? Certainement pas. Décevant ? Assurément !, » déclara Cell en reculant lentement. « Ce n'est pas avec de tels adversaires que je vais pouvoir prouver la supériorité absolue de mon corps parfait... » Il tourna les talons, prêt à partir, mais non sans lancer un dernier regard à Trunks, savourant la mine déconfite du guerrier. « Je pensais m'amuser plus que ça en me battant contre vous deux ! Je me contenterai, pour cette fois, de la terreur et de la frustration dans ton regard... »

Pour Trunks, la défaite était totale. Et dans cet instant de lucidité cruelle, alors que Cell s'éloignait à la recherche d'un nouvel adversaire, Trunks comprenait que ce combat n'avait jamais été à sa portée.

Il n'était pas devenu invincible grâce à son entraînement dans la Salle de l'esprit et du temps, et il venait d'en faire l'expérience la plus douloureuse de sa vie.

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Voilà, pas vraiment d'épilogue, on revient (quasi) à l'histoire d'origine à ce niveau. Il manque effectivement l'annonce de la relance du tournoi des meilleurs combattants avant que Cell n'abandonne Trunks à son sort...

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Notes :

• ⁽¹⁾ La puissance du Super Saiyan daï ni dankaï restrain de Vegeta est de 600'000'000 (600 millions) unités, il domine par sa vivacité et son potentiel restant les 800'000'000 (800 millions) de Cell seconde forme, et lorsqu'il passe au Super Saiyan daï ni dankaï complet à 1'200'000'000 (1,2 milliard) unités, il ne peut cependant rien face au bon 1'500'000'000 (1,5 milliard) unités de la forme parfaite mais restrainte de Cell,
• ⁽²⁾ la puissance du Super Saiyan daï ni dankaï restrain de Trunks est de 550'000'000 (550 millions) unités, mais il se contient d'avantage que son père, son Super Saiyan daï ni dankaï complet se situant à 1'300'000'000 (1,3 milliard) unités – il évite donc de vexer son père avec sa puissance légèrement supérieure... bien que plus musclé que le Super Saiyan de base, il mesure toujours 1,70 mètre...
• ⁽³⁾ le canon de cette transformation est admis à environ 1'000'000'000 (1 milliard) unités ; dans cette fanfic, elle commence à 2'500'000'000 (2,5 milliards) et continue d'augmenter...
• ^(4.1) ce premier palier fixe une puissance (non canon) de 3'100'000'000 (3,1 milliards) unités, faisant de Trunks Super Saiyan daï san dankaï un combattant plus puissant que Cell ! Il mesure alors 2,10 mètres, dépassant d'une courte tête les 1,95 mètre de Cell – il pèse aussi 140 kg, ce qui commence à représenter une gène pour ses déplacements,
• ^(4.2) à plein régime, la puissance (non canon) de Trunks Super Saiyan daï san dankaï est proche de 8'500'000'000 (8,5 milliards) unités, sa taille atteint les 2,75 mètres pour 320 kg, c'est un colosse comparé à Cell !
• ⁽⁵⁾ la puissance de Cell forme parfaite est d'environ 1'500'000'000 (1,5 milliard) unités en mode restrain, et monte à 2'000'000'000 (2 milliards) unités, voire même 3'000'000'000 (3 milliards) unités quand il se montre sérieux... ces valeurs sont plus ou moins conformes au canon,
• ⁽⁶⁾ dans l'anime, saga Namek, lorsque Vegeta affronte Freezer forme finale, le tyran lui donne plusieurs coups de coude dans la poitrine, juste au dessus de la jointure entre la plaque ventrale et les plaques pectorales de son armure ; toujours dans l'anime, Cell fait de même, donnant à Trunks un coup de coude s'enfoncant dans son buste à peu près au même endroit. C'est sûrement un pur hasard de la chorégraphie de ses deux combats, mais lorsqu'on sait que Cell possède une part de Freezer dans son patrimoine génétique, je me dit que c'est peut-être un clin d'œil des animateurs... c'est en tout cas un élément que je voulais reprendre et mettre un peu plus en avant.

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Briefings ChatGPT

Les briefings des chapitres, tels que soumis à ChatGPT, hors ajustements et correctifs IA et manuels de ma part...

Contexte : Saga des androïdes, arc Cell ; Vegeta et Trunks sont tout deux transformés en Super Saiyan daï ni dankaï ; Cell a habillement manipulé Vegeta pour parvenir à absorber C-18 ; Vegeta - même à pleine puissance - est en mauvaise posture face à la forme parfaite de Cell ; Trunks est accompagné par Krilin, ce dernier sent bien que ni Cell ni Trunks n'ont dévoilé leurs pleins potentiels ; Trunks et Krilin observent le combat depuis le ciel.

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Chapitre 1

Brief : Vegeta est mal en point, le coup de poing que Cell lui à donné dans le nez fait son effet, le monstre assène alors un violent coup de pied dans le ventre du prince des Saiyans, qui est propulsé comme un boulet de canon vers le ciel. Cell se déplace très rapidement derrière Vegeta et lui assène un violent coup de coude dans le dos, dont l'effet est augmenté par la vitesse en ligne droite prise par Vegeta alors qu'il s'élève dans les cieux. Un terrible craquement se fait entendre, est-ce l'armure de combat de Vegeta, les os de sa colonne vertébrale ? Le Saiyan retombe immédiatement au sol, et tombe insconscient - ces cheveux dorés reprennent leur couleur noire. Cell ressent toujours une petite étincelle de vie dans le corps de Vegeta, et le félicite d'être toujours vivant après ça. Il redescend du ciel pour se poster à ses côtés et le mettre en joue, s'apprêtant à lancer un kikoha mortel de sa main droite. Pendant ce temps, Trunks est estomacé et décontenancé par la façon dont son père a été vaincu. Krilin lui intime de passer à l'action pour sauver la peau de son père, juste pour réaliser que le jeune Saiyan est déjà en train d'entamer sa transformation. Trunks fait circuler à travers chaque fibre de chaque muscle de son corps la plus grande quantité possible de ki, l'aura enflammée de Super Saiyan daï ni dankaï autour de son corps s'embrase d'avantage et semble se densifier encore. Une tension électrique traverse les organes et muscles de Trunks alors que sa stature commence à changer. Trunks a les yeux révulsés sous l'effet de la transformation, qui s'avère douloureuse. Le petit bout de tissu qui maintenait noués en queue de cheval les cheveux de Trunks se déchire et brûle à cause de l'aura de ki autour de Trunks, aura qui danse tel un incendie violent, avec des sursauts et projections tels des éruptions de ki. Cell ressent la propagation et la densification du ki de Trunks, lève la tête, et est surpris de découvrir Trunks avec un corps musclé qui dégage une puissance sans pareil.

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Chapitre 2

Brief : Trunks reprend son calme, ses yeux reviennent à la normale. Il bouge les doigts, serrant ou desserant les poings, et commence à jauger les résultats de sa transformation en Super Saiyan daï san dankaï. Krilin, quelque part entre crainte et admiration, lui demande s'il se sent bien. Trunks répond positivement, et plonge sa main entre sa tenue et son armure, pour en sortir le senzu qu'il confie à Krilin, lui confiant la mission d'évacuer Vegeta et de lui donner le remède le moment adéquat. Krilin acquiese mais s'inquiète de savoir si le jeune Saiyan en possède un pour lui. Trunks sourit, plein de confiance, et réponds qu'il n'en aura pas besoin. Trunks se laisse descendre jusqu'à atterir sur l'île. Durant ses quelques secondes, son esprit est traversé par un tourbillon de pensées égotiques et virilistes à propos de son nouveau corps. Son épaisse aura provocant le soulèvement de nuages de poussière et de gravillons, il disperse son aura corporelle dès qu'il touche le sol, comprimant ce ki dans son corps. Le petit trésautement lui procure une sensation de plaisir, presque auto-érotique. Trunks regarde Cell droit dans les yeux, et lui annonce qu'il va le tuer. Cell sourit, ironisant sur cette soudaine confiance. Le Saiyan s'avance en marchant, profitant du chemin à parcourir pour s'étirer, faire quelques moulinets avec les bras, comme pour s'aligner et calibrer ce corps aux muscles hypertrophiés, évaluant l'écartement de ses épaules et de son bassin, la taille de ses pectoraux, l'épaisseur de ses cuisses, biceps. Il sent le frottement sur sa peau du tissus moulant de sa tenue de combat, il perçoit aussi les zones en creux où l'air rentre et s'échappe à chacun de ses mouvements, s'imprégnant de ses petites informations. Cell avance lui aussi à pieds, et sourie en coin sans rien dire. Trunks et Cell se rejoignent à mi-chemin, le Saiyan est désormais à la même hauteur d'yeux que son adversaire. Ils se toisent sans rien dire pendant quelques secondes.

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Chapitre 3

Brief : C'est Cell qui prend l'initiative et décoche le même coup de pied que celui qui projeta Vegeta dans le ciel, mais Trunks, lui, esquiva avec un salto arrière, se remis sur ses pieds et s'élance vers le monstre pour lui décocher un coup de poing. Mais le coup passa trop loin du visage de Cell qui esquiva aussi en se baissant légèrement, se placant entre le sol et le guerrier. Le monstre serra le poing et le décocha en plein de le ventre du Saiyan, l'enfoncant jusqu'au niveau du poignet à travers l'armure de combat du Saiyan. Trunks fut soulevé par l'onde de choc, une giclée de salive sortant de sa bouche grande ouverte. Aussitôt le monstre effectua une rotation sur un pied, lancant l'autre en plein dans les pectoraux de Trunks, le projetant en l'air une centaine de mètres plus loin. Trunks glissa encore sur les fesses sur quelques mètres, entraîné par son nouveau poids, mais essayant déjà de se relever avant même de s'arrêter. Il profita de ce bref moment pour jauger les effets du coup de poing, et conclua qu'il n'avait presque rien senti, et c'était un bon signe - son armure comme l'épaisseur de ses muscles renforcant considérablement sa résistance. Trunks, allongé sur le sol, roule sur le dos, et d'un saut agile, se remet debout, au moment où Cell arrive sur lui en volant. Le monstre frappe Trunks, qui repoussé mais se redresse quelques mètres plus loin. S'en suit un échange de coups de poings ou aucun des deux ne prend le dessus. Finalement, au bout de quelques minutes, Cell lance un coup de coude dans le pectoral droit de Trunks, qui se retrouve repoussé à nouveau. Pendant ce temps, Krilin fait discrètement le tour de l'île pour rejoindre le cratère où gît Vegeta. Au loin, Trunks aperçoit le terrien, lui lancant un clin d'oeil pour lui notifier de s'occuper de son père, Cell étant désormais absorbé par son combat avec l'autre Saiyan. Krilin prend Vegeta sur ses épaules, et s'empresse de quitter l'île et part en direction de l'île de maître Tortue Géniale.

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Chapitre 4

Brief : Trunks se relève, confiant, prenant le temps d'épouster coquettement la poussière sur ses fesses, ses cuisses et sur l'avant de son armure. En son fort intérieur, il s'avait qu'il n'était même au tiers, peut-être au quart, de son plein potentiel de Super Saiyan daï san dankaï. Il recommenca à embraser son aura autour de son corps, répulsant à nouveau poussière et cailloux tout autour de lui. Cell rompit ce silence, "Nous sommes seuls, Vegeta est à l'abri, tu vas pouvoir arrêter ton petit jeu". Trunks est réellement surpris, mais ne laisse transparaître cet état que quelques secondes à peine. Il demande pourquoi Cell a laissé faire, le monstre réplique qu'il n'a aucun intérêt pour les déchets, et qu'il a face à lui un nouveau motif d'amusement. Trunks reste silencieux, mais la tension est palpable ; il déclare qu'il est là pour en finir avec toutes les créations du Dr Gero, les veines de son visage commencant à apparaître sur ses tempes... Cell, lui, insiste sur le fait qu'il n'est là que pour prouver la supériorité de son corps parfait. Trunks serre très fort les poings, libérant tout son ki, et dans un râle gutural, achève sa transformation, son corps continuant à grandir et ses muscles à grossir. Il dépasse maintenant Cell d'une tête. Le Saiyan triomphe, présentant cette puissance comme étant la véritable force des Saiyans, **sa** véritable puissance à lui. L'aura autour du guerrier Saiyan projette des gerbes de ki dans toutes les directions. Krilin, qui s'éloigne pourtant du lieu du combat, ressent le ki impressionnant de Trunks, et décide de s'arrêter sur une petite île déserte à proximité, allongeant Vegeta sur le sol. Cell, lui, ne se démonte pas, il ricanne même et finit par dire que, malgré sa force, sa puissance, Trunks ne pourra pas le vaincre, jamais, en aucune manière. Bouffi d'ego, Trunks est d'abord surpris - même bouche bée - mais se ressaisie puis prend l'annonce de Cell à la rigolade, insinuant que le monstre raconte n'importe quoi pour tenter de le déstabiliser.

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Chapitre 5

Brief : Trunks bondi à pleine vitesse sur Cell, lui assène un coup de poing qui fait mouche cette fois-ci, envoyant tournoyer le monstre, qui utilise ses ailes pour se redresser, et aussitôt s'échapper vers le ciel. Trunks s'élance à sa poursuite, et à peine arrivé face à lui, lui balance un kikaha de la main gauche, puis de la main droite, puis enchaîne une trentaine de kikohas, qui explosent sur le corps de Cell en générant un gigantesque nuage de flammes et de fumées noires. Trunks s'arrête, laissant le temps au nuage de se disperser, pour constater - un peu surpris - que Cell n'est plus là. L'avait-il désintégré avec une technique aussi basique et sans plus d'efforts ? Non, le monstre a utiliser la vitesse silencieuse de ses ailes pour contourner Trunks et lui asséner - littéralement - un coup de pied au cul qui repousse le Saiyan dans les airs. Trunks se ressaisit et effectue exactement la même manoeuvre, passant derrière Cell et lui infligeant un violent coup de pied dans le dos. Trunks se déplace à toute vitesse pour repasser devant le monstre, et interromp sa course d'un violent coup de poing. Trunks donne plusieurs coups de poings sur le corps de Cell, ce déferlement et ce pillonage faisait monter en lui un sentiment d'exitation et de plaisir. Trunks charge du ki dans son poing droit, et utilise le *super god hammer fist* dans la pièce triangulaire au centre de la poitrine du monstre, et enchaîne avec un puissant kikoha qui expédie Cell au sol avant d'exploser. Trunks, depuis le ciel, se tient droit, les bras croisés, face à Cell, mais ce dernier se relève, ne semblant pas spécialement affecté, même s'il crache de côté une giglée de salive mélangée d'un peu de sang. Cell réitère son avertissement, le jeune Saiyan ne pourra le vaincre. Trunks serre les dents, la colère se lisant de toutes les façons, son visage, la tension dans ses poings, dans la danse de l'aura de ki autour de son corps...

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Chapitre 6

Brief : Trunks ne s'en rendait pas encore compte, mais tout son corps transpirait ; sa tenue de combat, d'un bleu roi, avait viré au bleu de minuit à de nombreux endroits, la sueur ajoutant au matériau élastique une plus grande adhérence à la peau. Son ego et sa fierté prenait le dessus sur la réflexion et l'analyse. Trunks s'élançe à nouveau sur Cell, les premiers coups faisant mouche, mais petit à petit, Cell parvient à bloquer, puis à esquiver les coups du Saiyan. Les échanges de coups pleuvent à nouveau, l'efficience des coups de Trunks commence tout doucement à s'émousser, perdant plus en précision qu'en force. Cell commence progressivement à prendre le dessus, imprimant un rythme ephréné aux échanges de coups, il finit par forcer Trunks à roucourir à sa garde, les traces des poings de Cell s'imprimant dans les gros muscles des avants-bras du Saiyan. Trunks commence à comprendre que quelque chose ne va pas, il passe désormais plus de temps en défense qu'en attaque, et malgré cela, ne parvient pas à reprendre son souffle. Alors que Trunks se cache derrière ses bras et encaisse les coups de poing de Cell, celui-ci décoche un coup de pied dans le vaste latéral. La douleur soudaine lui fait écarter les bras, et Cell profite de l'ouverture qu'il a provoqué pour donner des coups au niveau des deltoïdes et biceps de Trunks, brisant complètement la défense de son adversaire... Le Saiyan tente de reculer mais Cell le serre de près et frappe désormais directement son adversaire sur son armure. Trunks réalise alors que la force des coups de Cell n'est plus la même, il ressentait désormais la douleur infligés par les coups de poing dans son abdomen. Cell enchaîne coup de poing dans le ventre, crochet du gauche dans la joue, direct du droit dans le nez. Trunks tente de se ressaisir, ses pensées fusent et la panique se lit sur son visage quand Cell, après deux crochets dans les joues, le monstre lui fait basculer la tête en arrière avec un coup de paume par en dessous avant de donner un violent coup de coude qui s'enfonce dans le sillon inter-pectoraux, lui infligeant une douleur et lui faisant cracher du sang pour la première fois...

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Chapitre 7

Brief : Avec une précision millimétrée, Cell décrit, avec son poing, un grand quart de cercle depuis le sol qui vient percuter par en dessous la machoire de Trunks, le Saiyan est propulsé dans le ciel dans une trajectoire courbe, avant de s'écraser plusieurs centaines de mètre plus loin à travers l'île, rebondissant et roulant en boule sur le sol, défoncant sur sa route rochers et relief rocheux, terminant sa course chaotique dans le cratère où son père avait échoué un peu plus d'une heure auparavant. Trunks se redresse péniblement, posant ses mains sur les genoux pour reprendre son souffle, et faire le terrible constat de son état... Son corps musclé de Super Saiyan daï san dankaï, est partout recouvert des empreintes en creux des nombreux coups de poing que Cell lui a donné au cours des dernières minutes. Pire, le motif de la plaque ventrale de son armure - de larges bandes horizontales - sont complétement tordues, vrillées par les assauts quasi-omnidirectionnels du monstre qui ont touché ses tissus musculaires. Redressant un peu la tête, son regard se retrouve, depuis le fond du cratère, au raz du sol, et il apercoit au loin Cell qui avance tranquillement vers lui. Trunks tente de reprendre son sang froid, mais la frustration reste la plus forte. Il réactive son aura autour de son corps, et puise dans ses derniers retranchements une nouvelle source de ki pour alimenter sa transformation, persuadé qu'il est que sa force sera la clé de la victoire. Ce déploiement de ki fait exploser et s'agrandir le cratère, fendant le sol dans toutes les directions, morcellant encore un peu plus l'île déjà ruinée... Il ne remarque donc pas que, malgré le coup de boost qui lisse ses muscles et son armure, cette nouvelle augmentation lui fait perdre encore d'avantage en précision et agilité... Il se rue en direction de Cell, mais son coup ne fait que détruire le sol là où Cell se tenait. Trunks se redresse, sa sueur giclant de son visage alors qu'il se retourne à la recherche de son adversaire. Cell le frappe avec le plat extérieur de sa main sur la tempe de Trunks, qui se retrouve choqué et immobilisé. Cell lui inflige une clé de bras, les gros muscles de Trunks amplifiant la douleur de ce geste, la taille de ceux-ci lui bloquant certains mouvements... Trunks panique, il a quasi les larmes aux yeux suite à cette dernière manoeuvre du monstre...

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Chapitre 8

Brief : Le monstre relâche tout à coup son emprise, mais cette libération n'est en rien salutaire pour Trunks, Cell lui assène encore un puissant coup de poing dans la joue. Le temps semble ralentir alors que de la salive teintée de sang s'échappe des commissures des lèvres du guerrier. Son poid ayant augmenté, la force de Cell ne suffit pas à faire tomber Trunks, dont les pieds glissent sur la roche, creusant deux sillons sur plusieurs mètres. Cell reprends les frappes enchaînées, joue gauche, ventre, joue droite, ventre, nez, ventre, le guerrier Saiyan ne vacille pas, même s'il se fait traîner à chaque nouveau sur quelques mètres de plus, ces bottes ancrées dans le sol, le dos droit. Mais le dernier coup dans son ventre fait plier Trunks en deux, il se tient le ventre avec les mains, la douleur irradiant tous son corps depuis ce point. Trunks se tient bouche ouverte, face vers le sol, comme s'il allait vomir à tout moment tripes et boyaux. Il manque même de tomber à genoux, mais Cell, telle une machine de guerre en pilotage automatique, lui assène le prochain coup. Il s'assiet sur le sol, prend appui sur ses bras, et lui donne un double coup de pied dans la poitrine qui envoie dans les airs le Saiyan - qui semble parti pour subir le même sort que son père. Cette pensée traverse l'esprit de Trunks, mais il est incapable de la moindre réaction physique, même si la panique le gagne. Dans sa course dans le ciel, le monstre se contente finalement de stopper sa course en plein vol, mais le répit est de courte durée, Cell lui donne un coup de genou dans le ventre, tenant son adversaire de la main gauche à la nuque, de la main droite par la ceinture de son armure. Nouveau coup de genou, puis un autre, encore un. Le dernier coup de genou est tellement fort qu'une bosse - née de l'onde de choc - se forme dans le dos de Trunks, qui hurle à l'agonie. Cell mets ses deux poings en position de marteau au dessus de sa tête, en frappe le Saiyan dans le dos, expédiant le malheureux guerrier droit vers le sol. Une nouvelle explosion vient ébranler la topographie de l'île, un nuage de poussière montant dans le ciel avant de disparaitre dans un silence assourdissant.

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Chapitre 9

Brief : Preque miraculeusement, Trunks - au bout de longues minutes et au prix d'un effort que seul peut fournir un Saiyan - se relève, mais malgré sa transformation encore active, il n'est plus que l'ombre de lui-même. Trunks saigne du nez, du sang coulant de sa bouche, des cernes profondes sous les yeux. Bien que debout, il se tient les bras balant, sans force, le regard tourné vers le ciel où Cell est resté posté suite à sa dernière attaque. Le monstre regarde de haut - au propre comme au figué - son pitoyable adversaire. Il se décide à descendre et se pose à une cinquantaine de mètres de Trunks, qui est partagé entre le soulagement et la peur, soulagement que Cell ne reprenne pas son déferlement de coups, et peur du prochain mouvement du monstre, imprévible. Cell se moque de Trunks, riant de ce manque d'expérience autant que de jugeotte. Et tout à coup, dans une énième onde de choc qui dévaste encore l'île, le corps du monstre gonfle, comme si, sous son épaisse et inviolable chitine protectrice, ses muscles gonflaient. La nouvelle physionomie de Cell faisait vraiment penser au Super Saiyan daï san dankaï de Trunks. Après tout, le monstre possédait de l'ADN Saiyan à travers les cellules de Vegeta et Son Gokû. Cell commentait la facilité avec laquelle n'importe qui peut finalement atteindre cette forme. Déplacant un énorme nuage de poussière et de gravats, Cell se rua avec cet énorme corps au devant de Trunks, et l'étreigna entre ses bras - tel un Bear Hug. Trunks senti le craquement de son armure, mais aussi la compression de ses muscles sous cette terrible emprise physique. Cette situation, aussi grotesque fut elle, provoqua en Trunks une ultime réaction de jouissance, presque orgasmique, mais uniqment lié au déplacement massif et soudain de sang à cause de la compression. Cell murmura, à quelques centimètres du visage du malheureux Trunks, qu'il n'était pas un guerrier, mais un simple idiot, la vitesse et l'agilité faisant partie des clés de la victoire. Il libère son étreinte, rompant sa transformation. Trunks fit de même, glissant du bout des lèvres qu'il s'avouait vaincu. Le monstre jubilait, mais savait que ce combat n'était pas non plus la preuve dont il a besoin pour asseoir la supériorité de son corps parfait sur l'ensemble des combattants...

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C'est toujours un peu flippant quand l'IA finit par comprendre vos intentions scénaristiques – notamment à travers des questions parallèles ou des changements demandés sur de précédents chapitres – et qu'elle fini par prendre les devants dans l'écriture. Même si parfois elle se trompe, ou va trop loin