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Je continue de faire mumuse avec l'IA pour différentes petites choses, et j'ai profité de quelques crédits sur la version 4.5 de ChatGPT pour refaire une nouvelle version d'un light novel/fanfic de Trunks versus Cell.
Le jeu consistait à partir des mêmes briefs, ajouter quelques instructions, définir une nouvelle stratégie de rédaction, et laisser faire l'IA tout du long. Et le résultat est - je trouve - meilleur grâce à ce modèle 4.5 par rapport au modèle 4o.
J'ai édité le contenu généré, pour y transférer des tournures et phrases de la première >> itération, et j'ai ajouté quelques détails et phrases de mon cru, dans le cadre d'une relecture « shônen adulte sombre » et « body-aware » autour de la transformation en Super Saiyan daï san dankaï de Trunks, l'une et l'autre étant respectivement ma forme préférée et mon personnage préféré...
Chapitre 1 : Éveil d'un colosse
Le temps sembla se figer alors que Vegeta, l'orgueilleux prince des Saiyans, vacillait sous la pression d'un poing redoutable, le coup de Cell ayant fracassé son nez dans une effusion écarlate. Son visage crispé de douleur, ses muscles tétanisés par l'effort infructueux de maintenir sa garde, il peinait à garder conscience. Le Super Saiyan daï ni dankaï, même avec sa puissance colossale(1), ne semblait pas être à la hauteur face à cet ennemi terrifiant. Cell, arrogant et glacial, ne lui accorda aucune pitié ; d'un geste rapide et impitoyable, il asséna un puissant coup de pied dans l'abdomen du guerrier, propulsant Vegeta dans les airs à une vitesse ahurissante, comme une vulgaire poupée de chiffon prise dans un violent courant ascendant.
Trunks(2), observant la scène depuis le ciel aux côtés de Krillin, serra les poings. « Vegeta… ! »
Tel un prédateur jouant avec sa proie, Cell disparut en un clin d'œil pour réapparaître juste derrière lui, un sourire sadique étirant ses lèvres. Il arma son coude d'un geste théâtralement cruel, et d'une précision chirurgicale, il l'enfonça profondément dans le dos de Vegeta, pile entre les omoplates. Un craquement sourd et sinistre résonna à travers le ciel chargé d'électricité, laissant planer un instant le doute terrible : était-ce l'armure Saiyan qui venait de céder, ou les os du prince qui venaient de se briser ?
Vegeta s'écroula immédiatement, tel un oiseau abattu en plein vol, filant vers le sol à une vitesse folle. Sa silhouette heurta la terre avec violence, soulevant un nuage opaque de poussière et de débris. L'onde de choc du choc fut ressentie par tous, mais ce fut l'image finale qui marqua le plus profondément les esprits : Vegeta, vaincu, inconscient, ses cheveux reprenant lentement leur couleur ébène d'origine. La fierté du prince des Saiyans gisait maintenant, inerte, au fond du cratère fumant.
Cell flotta un instant au-dessus de la scène, une moue satisfaite ornant son visage, avant de descendre calmement vers sa victime vaincue. Il ressentit une minuscule pulsation d'énergie émanant du corps brisé de Vegeta. « Impressionnant, je me dois de te féliciter », dit-il d'une voix moqueuse teintée de condescendance. « Tu es toujours en vie après ça, Vegeta. Dommage que tu sois si faible. » Il leva lentement sa main droite, une sphère d'énergie mortelle commença à y prendre forme, projetant une lumière sinistre sur le visage impassible du monstre.
Dans le ciel, loin au-dessus de cette tragédie imminente, Trunks fixait avec stupeur et rage l'humiliante défaite de son père. Son regard tremblait, ses poings serrés jusqu'au sang, son souffle saccadé. Krilin, alarmé par l'urgence du moment, se tourna vers lui et hurla, la voix pleine d'urgence :
— « Trunks, vite, bouge-toi ! Vegeta va mourir si tu ne fais rien ! Qu'est-ce que tu … ?! »
Mais le cri de Krilin mourut dans sa gorge en découvrant le jeune Saiyan déjà en pleine métamorphose, une aura dorée incandescente l'enveloppant, sa puissance montant exponentiellement. Le ki crépitait sauvagement, chargeant l'air ambiant d'électricité statique palpable. Trunks ressentait chaque fibre musculaire, chaque ligament, chaque cellule de son corps soumis à une pression indescriptible tandis qu'il canalisait toute son énergie.
— « Tr… Trunks ??… » murmura Krilin, éberlué par l'immense pouvoir qu'il ressentait soudain.
Le visage de Trunks exprimait un mélange troublant de douleur et de détermination absolue ; ses pupilles révulsées sous ses paupières mi-closes, les mâchoires serrées à en faire grincer les dents. Le flot de ki parcourait brutalement son système nerveux, tendait à l'extrême ses muscles déjà puissants. L'armure Saiyan qui le couvrait criait sous l'effort, résistante encore mais sur le point de céder aux exigences brutales imposées par la transformation.
« Plus… encore plus… » pensa Trunks avec une rage sourde, alors qu'un feu brûlant traversait son corps comme un torrent impitoyable, atteignant même les organes profonds qui pulsaient douloureusement sous la pression inédite de son énergie grandissante. Les vaisseaux sanguins de ses bras, ses cuisses, ses pectoraux se gonflaient, grossissaient en diamètre sous le débit frénétique de son sang saturé de ki.
D'une brusque secousse, son armure craqua finalement. La matière élastique qui avait lutté vaillamment contre la pression fut soudainement contrainte de relâcher son emprise, se distendant pour accueillir la stature nouvelle, nettement plus imposante, du jeune guerrier. La musculature de Trunks explosa littéralement en volume, prenant des proportions inimaginables. Son torse se dessina en une montagne puissante, ses épaules s'élargirent spectaculairement, tandis que ses bras se transformaient en deux colonnes musculeuses et massives.
Cette expansion physique ne se fit pas sans douleur, une douleur intense et profonde qui arrachait des grimaces étouffées au jeune Saiyan. Pourtant, à travers cette souffrance, Trunks découvrait une sensation étrange et perturbante, un frisson mêlé de plaisir qui montait en lui à mesure que son corps s'adaptait, se stabilisait à ce nouveau stade de puissance surhumaine. Un puissant battement résonna dans sa poitrine, comme un tambour de guerre, propulsant son sang dans toutes ses extrémités et enflammant ses sens à vif. Une étrange chaleur se répandit dans son bas-ventre, puis, sans crier gare, une vigoureuse poutre apparente vint se dessiner à travers le tissu de son pantalon moulant, donc l'élasticité et la résistance forçait l'appendice à se lover tout contre ses abdos inférieurs. Mais Trunks, concentré sur l'enjeu immédiat, ne prêta pas attention à cette réaction primitive de son corps.
Dans le tumulte de la transformation, le mince ruban qui retenait ses cheveux en une queue de cheval bien ordonnée se consuma dans l'aura flamboyante, libérant une cascade de mèches dorées, hérissées en piques sauvages autour de son visage. Sa taille avait significativement augmenté, atteignant désormais une stature imposante et menaçante, surpassant même celle de Cell.
Cell interrompit son geste, alerté par l'intensité effrayante du ki de Trunks, dont la propagation avait capté toute son attention. Levant lentement les yeux vers le ciel, il découvrit avec étonnement et un plaisir pervers mêlé d'une pointe de curiosité le jeune Saiyan dans une forme inédite, débordant de puissance pure et brute. Le regard glacé du monstre croisa les yeux révulsés du guerrier à présent colossal, et un sourire sarcastique apparut sur ses lèvres fines :
— « Alors c'est toi, mon prochain adversaire ? Je dois reconnaître que tu es impressionnant, gamin. Espérons que tu ne sois pas aussi décevant que ton cher père. »
Trunks, maintenant transformé en un colosse étincelant de ki, posa un regard brûlant de haine et de défi sur Cell. Il ressentait encore le tremblement subtil et déconcertant de plaisir dans ses muscles hypertrophiés, mais il écarta immédiatement cette pensée parasite, focalisé exclusivement sur la fureur vengeresse qui consumait désormais son âme.
Le ciel s'obscurcit davantage sous l'effet des énergies en présence, les nuages s'agglomérèrent en une masse compacte et menaçante, comme pour annoncer l'orage dévastateur qui allait s'abattre sur le champ de bataille. Cell, bras toujours tendu vers Vegeta inconscient, décida finalement de reporter son attention sur ce nouveau défi prometteur.
Ainsi débutaient les prémices d'un affrontement titanesque entre le monstre parfait et le jeune Saiyan aux ambitions démesurées. La véritable bataille ne faisait que commencer.
Chapitre 2 : Corps parfait, orgueil Saiyan
L'aura flamboyante qui entourait Trunks commença lentement à perdre de son intensité, jusqu'à se réduire à un simple halo lumineux autour de son corps nouvellement acquis. Ses yeux, qui avaient été révulsés sous l'effet de la transformation, reprirent progressivement leur expression naturelle, le jeune guerrier retrouvant peu à peu son calme intérieur après cette violente éruption de puissance. À quelques mètres, flottant dans le ciel avec une nervosité palpable, Krilin observait ce nouveau Trunks avec un mélange étrange d'admiration et d'appréhension, sa voix trahissant l'inquiétude qu'il ressentait face à cette force brute(3). Mais comment les Saiyans peuvent-ils faire ça … ? se demanda-t'il, songeant à la forme Ōzaru de leur race, puis au Super Saiyan de Goku sur Namek et au Super Saiyan daï ni dankaï de Vegeta… :
— « Hé, Trunks… Tu vas bien ? Ça avait l'air douloureux comme transformation », demanda-t-il timidement.
Trunks laissa échapper un léger sourire, le regard posé sur ses propres mains, ouvrant lentement les paumes puis refermant les poings avec une satisfaction évidente :
— « Oui, je vais bien… mieux que jamais même. »
Depuis le sol, Cell observait la scène, ses yeux fixés sur Trunks, jaugeant le jeune Saiyan. « Est-ce bien le même Trunks que celui que j'ai rencontré dans ma ligne temporelle ? » se demandait-il, perplexe devant cette différence flagrante. Ce Trunks semblait bien plus puissant, bien plus sûr de lui. Cell pouvait déjà sentir que le potentiel de Trunks n'était pas encore entièrement déployé. « Quelle force ! Il a vraiment un énorme potentiel ! »
Le Saiyan plongea alors sa main droite sous son armure, entre le tissu serré de sa tenue de combat et le plastron renforcé. Fouillant quelques secondes, il en retira délicatement un senzu, la petite fève aux vertus miraculeuses, qu'il lança avec assurance vers son compagnon humain :
— « Tiens, Krilin. Prends ça, et emmène mon père loin d'ici. Donne-le lui dès que ce sera possible. »
Krilin prit précautionneusement la fève, l'observant avec inquiétude avant de regarder à nouveau le jeune Saiyan d'un air préoccupé :
— « Oui, bien sûr, mais… Et toi, Trunks ? Tu en as encore un pour toi, hein ? » demanda-t-il avec espoir.
Trunks esquissa alors un sourire empreint d'une confiance arrogante, le regard rivé sur Cell en contrebas, avant de répondre avec fermeté :
— « Ca ira. Je n'en aurai pas besoin… Je vais gagner. »
Sans attendre de réaction, Trunks se laissa doucement tomber du ciel, ses bras le long du corps, le vent sifflant contre ses oreilles tandis qu'il chutait lentement vers le champ de bataille en contrebas. Durant ces quelques secondes suspendues, une tempête de pensées traversa son esprit désormais empli d'orgueil et de satisfaction narcissique. Il sentait la masse impressionnante de ses nouveaux muscles, la densité fascinante de sa propre énergie comprimée dans chaque fibre, chaque cellule. Ses pectoraux imposants se mirent à tressauter volontairement sous sa peau, déclenchant en lui un frisson de plaisir étrange, presque sensuel.
Les pensées de Trunks s'attardèrent un instant sur C-17 et C-18, les deux androïdes responsables de la terreur et de la misère dans son époque. Avec cette nouvelle force, ce corps transcendant, le Saiyan imagina brièvement comment il allait leur rendre la pareille. Il visualisait ses puissantes mains saisissant fermement le cou de C-17, ses biceps gonflés d'énergie, la sensation exquise de domination absolue sur l'être responsable de tant de souffrances. Quant à C-18, il imagina son visage impassible enfin marqué par la peur, la terreur pure et délicieuse que lui inspirerait sa propre puissance. Oui, ils paieraient tous les deux, et ce serait jouissif. « Cell n'a aucune chance » se répétait-il. Chaque cellule de son corps vibrait de cette certitude.
Ses bottes finirent par toucher doucement le sol, projetant tout autour de lui un petit nuage de poussière, de gravillons et de brins d'herbe, emportés par l'onde de souffle de son ki. Immédiatement, Trunks dissipa entièrement son aura, comprimant cette énergie gigantesque à l'intérieur de son corps surdimensionné. Le petit sursaut qui suivit cette compression lui procura une nouvelle vague de plaisir subtil, lui arrachant un léger soupir imperceptible alors que son sexe, d'abord tendu droit vers l'avant pendant une ou deux secondes, se retrouvait sèchement plaqué contre son grand droit abdominal sous la pression élastique du tissu, comme si la mémoire de forme de ce dernier refusait la moindre proéminence. Il releva lentement la tête, ses yeux fixant intensément ceux de Cell :
— « Cell, je vais te tuer. »
Cell eut un petit ricanement dédaigneux, observant Trunks avec un mélange de curiosité moqueuse et d'amusement :
— « Ho ? Vraiment ?… Quelle soudaine confiance en toi, Trunks. Fais attention à ce que ton arrogance ne finisse pas par te coûter cher, comme à ton papa. »
Ignorant la provocation, Trunks commença à avancer vers Cell d'un pas lent et assuré. À mesure qu'il marchait, il en profitait pour effectuer divers mouvements destinés à mieux appréhender les contours de ce nouveau corps. Il roula les épaules, lentement d'abord, puis avec davantage d'amplitude, savourant la manière dont ses épaules larges et puissantes se déployaient majestueusement. Ses bras s'écartèrent en moulinets calculés, cherchant intuitivement les limites de sa nouvelle envergure. Il se redressa fièrement, ajustant légèrement son armure au niveau de sa taille élargie, profitant de cette sensation unique de plénitude physique.
Dans ces instants étirés hors du temps, Trunks ressentait un plaisir intense, presque intime, à redécouvrir son propre corps sous cette forme extrême. Chaque mouvement provoquait en lui un frisson délicat, né du frottement subtil du tissu moulant de sa tenue contre sa peau hypersensible. L'air s'engouffrait par endroits sous l'armure, rafraîchissant agréablement ses muscles brûlants d'énergie, et s'en échappait ensuite comme une douce caresse. Il se délectait de ces détails minimes, invisibles à tout autre que lui.
Son esprit était empli d'un sentiment exaltant de perfection. Si Cell représentait l'apogée des créations artificielles du Dr Gero, alors Trunks était désormais l'incarnation ultime du potentiel Saiyan, un modèle vivant de puissance brute et naturelle. « Oui », pensa-t-il avec une arrogance délicieuse, « voilà ce que signifie réellement posséder un corps parfait. » Chaque fibre musculaire était désormais calibrée pour la domination absolue. Aucun doute ne venait troubler cette certitude purement égotique, il était le guerrier ultime, la réponse vivante à l'arrogance de Cell.
De son côté, le monstre parfait avait entamé lui aussi sa lente marche en avant, les bras le long du corps, un sourire énigmatique plaqué sur ses lèvres. Il observait avec amusement ce rituel d'auto-admiration chez son adversaire, ne prononçant pas un mot, laissant le jeune Saiyan savourer ses illusions de grandeur.
Finalement, après une lente et silencieuse approche, les deux adversaires se rejoignirent au centre du champ de bataille ravagé. Désormais face à face, leurs yeux se retrouvèrent au même niveau, leurs regards s'entrechoquant dans un duel muet et intense. Trunks n'avait plus rien du jeune homme frêle d'autrefois, il se percevait même comme la Némésis des cyborgs. Quelques secondes s'écoulèrent, éternité silencieuse où chacun tenta de lire dans l'autre la moindre faiblesse, le moindre signe d'hésitation.
Trunks sentait clairement cette présence menaçante devant lui, mais n'éprouvait aucune crainte, seulement une impatience brûlante d'engager enfin ce combat décisif. Son cœur battait lentement mais puissamment dans sa poitrine immense, chaque pulsation propulsant une vague d'énergie dans tout son corps, le maintenant dans un état d'excitation quasi extatique.
Face à lui, Cell finit par rompre le silence avec un sourire narquois :
— « Alors, gamin… es-tu prêt à affronter la vraie perfection ? »
Trunks, les bras détendus le long de son corps surpuissant, poings presque fermés, esquissa un sourire provocateur en retour :
— « Ne t'en fais pas, Cell. Je vais prendre mon temps pour savourer chaque seconde de ta destruction. »
Le vent souffla entre eux, balayant la poussière, annonçant l'affrontement imminent entre les deux êtres aux corps désormais parfaits, chacun à sa manière. Le véritable combat allait enfin pouvoir commencer.
Chapitre 3 : Premiers échanges, premiers constats
Cell fut le premier à rompre l'immobilité tendue entre les deux combattants. Sans le moindre avertissement, il décocha un coup de pied brutal, identique à celui qui avait envoyé Vegeta voler comme une comète quelques instants auparavant. Mais cette fois, le résultat fut tout autre. Avec une aisance impressionnante malgré sa nouvelle masse musculaire, Trunks se cambra rapidement en arrière, évitant la frappe avec un salto spectaculaire, pour retomber solidement sur ses pieds.
Sans perdre un instant, le jeune Saiyan s'élança vers le monstre, son poing massif visant directement le visage de son adversaire. Cependant, Cell esquiva à son tour avec une habileté méprisante, inclinant légèrement la tête pour éviter le poing qui passa dangereusement près de sa tempe. Profitant de cette ouverture, le monstre parfait se baissa légèrement et serra le poing droit avec une violence calculée, avant de le planter profondément dans l'abdomen de Trunks, perçant presque jusqu'au poignet l'armure Saiyan censée le protéger.
L'impact souleva brièvement le Saiyan, arrachant une gerbe de salive à sa bouche grande ouverte, aussitôt vaporisée par le feu de son halo de ki, alors que Cell enchaînait aussitôt en pivotant sur un pied, projetant l'autre avec force directement contre les puissants pectoraux de Trunks. Cette fois, la propulsion fut inévitable. Trunks fut jeté dans les airs sur une centaine de mètres, avant d'atterrir brutalement et de glisser sur le sol, entraîné par le poids colossal de son nouveau corps. Il sentit la terre râper contre ses fesses et son dos sur quelques dizaines de mètres, mais le guerrier ne perdait déjà pas une seconde pour tenter de se relever, en profitant même pour analyser méthodiquement l'effet du coup de poing.
Le temps sembla ralentir dans son esprit, tandis qu'il était encore en train de glisser. Trunks fouillait dans sa mémoire, cherchant à comparer l'impact du poing de Cell avec d'autres coups qu'il avait déjà encaissés auparavant. L'image lui vint alors très clairement : les terribles frappes qu'il avait subies face à C-17 et C-18 dans le futur, coups qui avaient jadis traversé son corps comme des décharges électriques, brisant des os, déchirant muscles et tissus. À l'époque, sans armure pour absorber ces attaques meurtrières, la douleur ressentie alors lui était restée gravée en mémoire comme une cicatrice indélébile.
Pourtant, à cet instant précis, il réalisa avec une joie presque sauvage qu'il n'avait presque rien senti des deux coups pourtant violents de Cell. Un sourire satisfait éclaira brièvement son visage. Sa musculature hypertrophiée, son armure Saiyan, la densité incroyable de son ki comprimé en lui… tout cela avait non seulement absorbé la frappe, mais l'avait réduite à un simple inconfort presque insignifiant. « C'est bien pratique », pensa-t-il. Cette réalisation alimenta encore davantage l'incendie de son ego, renforçant sa conviction absolue de sa supériorité physique sur Cell et sur tout autre adversaire potentiel.
Finalement immobilisé au sol, Trunks roula rapidement sur le dos et, dans un mouvement agile et puissant, bondit sur ses pieds au moment même où Cell arrivait sur lui en volant à une vitesse fulgurante. Le monstre le frappa immédiatement d'un coup de poing violent, mais cette fois Trunks resta ferme, reculant à peine de quelques mètres, simulant une grimace de douleur, ses pieds traçant de profonds sillons dans la terre sous l'effet du recul. Il se redressa immédiatement, lançant à Cell un regard intense et provocateur.
S'ensuivit alors un véritable ballet guerrier, un échange furieux de coups de poings, aucun des deux combattants ne parvenant à prendre l'ascendant décisif. Chaque frappe du Saiyan était parée ou esquivée par le monstre, et chaque attaque du monstre rencontrait la résistance phénoménale de Trunks, son corps colossal absorbant sans faillir chaque impact. Durant plusieurs minutes intenses, le combat sembla se figer dans un équilibre parfait, chacun cherchant vainement une faille dans la garde de l'autre.
Pendant ce temps, discrètement, Krilin s'était mis en mouvement. Faisant soigneusement le tour de l'île, profitant de la diversion offerte par le combat entre Trunks et Cell, il atteignit enfin le cratère où reposait Vegeta, toujours inconscient. Le terrien lança un regard anxieux vers le prince Saiyan, avant de relever les yeux vers Trunks. Leurs regards se croisèrent un très bref instant, Trunks lui adressa un clin d'œil rassurant, signal silencieux pour lui dire que la voie était libre.
Avec précaution mais détermination, Krilin chargea Vegeta sur ses épaules et décolla immédiatement en direction de l'île de Maître Tortue Géniale, aussi vite que ses forces le lui permettaient. Il jeta une dernière fois un regard en arrière, espérant secrètement que son ami parviendrait à tenir tête au monstre parfait.
Au même moment, sur l'île ravagée par le combat, Trunks ressentait une étrange euphorie en constatant que Cell n'avait même pas pris conscience de la manœuvre d'évacuation. La satisfaction qu'il éprouvait de tenir ainsi tête au guerrier parfait s'intensifiait à mesure que le duel avançait. Malgré ses muscles hypertrophiés qui auraient dû lui sembler lourds et encombrants, il se sentait à l'aise, presque aérien. Chaque mouvement lui semblait fluide, harmonieux, naturel, comme si ce corps massif avait toujours été le sien.
Trunks fixa de nouveau Cell droit dans les yeux, un sourire presque arrogant sur les lèvres, s'étirant légèrement pour se préparer à l'assaut suivant. Le monstre, de son côté, commençait tout juste à réaliser que son adversaire était peut-être plus coriace qu'il ne l'avait d'abord pensé. Pourtant, son orgueil était intact, et sa confiance absolue :
— « Je dois l'avouer, Trunks, tu m'impressionnes presque. Presque. Mais sache que je suis loin d'avoir dévoilé toute ma puissance. »
Trunks répondit par un sourire narquois, ses poings se serrant lentement à mesure que son ki remontait en lui :
— « Ho ? Alors c'est une bonne nouvelle, Cell. Vas-y, montre-moi tout ce que tu as ! Je prendrai un immense plaisir à te réduire en poussière. »
Les deux guerriers se firent face à nouveau, reprenant ce combat dantesque là où il c'était arrêté. Le Saiyan, galvanisé par ses premiers constats, n'avait désormais plus le moindre doute : il détenait non seulement un corps parfait, mais aussi la clé pour enfin terrasser Cell, venger son père, et rétablir enfin l'équilibre.
Mais finalement, ce fut Cell qui trouva une ouverture : profitant d'une légère erreur de timing de Trunks, le monstre décocha violemment un coup de coude directement contre le pectoral droit du guerrier Saiyan, le propulsant brutalement quelques mètres en arrière. Trunks glissa une nouvelle fois, sentant le picotement persistant de l'impact, le frottement sur ses fesses lors de la glissade incontrôlée, signe que l'attaque avait effectivement atteint son objectif, sans pour autant provoquer, là encore, de véritables dégâts. Ce n'était, à ses yeux, rien de plus qu'une piqûre de moustique sur son corps d'acier. Au sol, mais pas vaincu, ni même inquiété. Il glissa jusqu'à percuter et détruire une barre rocheuse, ce qui arrêta sa course.
Chapitre 4 : La véritable force des Saiyans
Trunks se redressa lentement, s'accordant une pause étrangement théâtrale après les violents échanges de coups avec Cell. Un sourire satisfait étirait subtilement ses lèvres tandis qu'il prenait tout son temps pour épousseter son corps massif, passant délicatement ses grandes mains sur chaque zone de son imposante silhouette. Il frotta d'abord son armure, ressentant avec plaisir les muscles fermes et denses sous le matériau protecteur. La sensation lui procura une satisfaction intense, proche de la fascination qu'un artiste pourrait ressentir devant sa propre œuvre parfaite.
Ses mains descendirent plus bas, s'arrêtant sur ses cuisses hypertrophiées. Il eut un bref frisson en sentant ses quadriceps puissants sous le tissu moulant, contractant légèrement les muscles comme pour apprécier davantage leur consistance exceptionnelle. Puis, presque distraitement, ses paumes se posèrent sur ses fesses. Il palpa son propre cul, plantant le bout de ses doigts dans la chair de ses grands fessiers, et il sursauta légèrement, surpris par la fermeté inhabituelle et le galbe parfait qu'ils avaient acquis grâce à cette transformation. Ce changement affectait subtilement son centre de gravité, mais la sensation n'était pas désagréable, au contraire ; elle renforçait encore son sentiment de perfection physique absolue.
Tout en effectuant ces caresses coquettes sur son propre corps, Trunks fit intérieurement le point sur sa puissance actuelle. Il réalisa, avec une pointe d'excitation presque fiévreuse, qu'il n'était même pas au tiers(4.1), peut-être même au quart de son véritable potentiel de Super Saiyan daï san dankaï. Cette simple pensée lui fit battre le cœur plus vite, lui arrachant un sourire arrogant qu'il ne put retenir. Si à ce stade, il tenait tête à Cell aussi aisément, alors que serait-il capable de faire lorsqu'il atteindrait enfin sa pleine puissance ? L'idée même de son propre potentiel lui donna un vertige extatique, alimentant son ego à des niveaux vertigineux.
Ce fut finalement Cell qui rompit le silence chargé de tension, d'un ton froidement amusé :
— « Inutile de continuer ton petit cinéma plus longtemps, Trunks, assez de temps perdu. Vegeta est à l'abri, maintenant. Nous sommes enfin seuls, toi et moi. »
Trunks ne put cacher complètement son étonnement à ces paroles, ses sourcils se froncèrent légèrement durant une fraction de seconde. Mais il reprit aussitôt son masque d'arrogance, fixant intensément le monstre en face de lui :
— « Hein ? Tu savais ? Pourquoi avoir laissé faire alors ? Tu aurais pu les arrêter facilement », lança-t-il avec suspicion.
Cell eut un rictus méprisant, son visage exprimant une indifférence totale :
— « Cette loque ? Je n'ai aucun intérêt pour les déchets. Mais toi… Tu es différent. Tu es devenu une source d'amusement, que je ne voudrais gâcher pour rien au monde. »
Trunks sentit son sang bouillir dans ses veines, les muscles de ses tempes se gonflant légèrement sous l'effet de la colère. Il serra les dents, laissant échapper à voix basse, mais parfaitement audible, sa déclaration de guerre personnelle :
— « Je suis ici pour en finir définitivement avec toutes les créations du Dr Gero. »
Cell ricana doucement, l'air décontracté :
— « Et moi, je suis ici uniquement pour prouver la supériorité absolue de mon corps parfait. Tu n'es qu'un moyen comme un autre d'en faire la démonstration, Trunks. »
Cette provocation fut la goutte de trop pour le jeune Saiyan, dont les poings se serrèrent violemment, si fort que ses articulations craquèrent. Il sentit une onde de rage brûlante parcourir tout son corps, libérant sans retenue tout son ki. Il poussa alors un râle guttural qui résonna comme un cri primal, et acheva sa transformation de manière spectaculaire. Son aura se ralluma violemment, comme si elle répondait instinctivement à cette montée d'orgueil intérieur. Une explosion d'énergie fit s'élever autour de lui une nuée de poussière et de cailloux, soulignant dramatiquement sa présence écrasante sur ce champ de bataille dévasté. Son corps immense se remit à croître de manière vertigineuse, les muscles se gonflant à nouveau, prenant des proportions absolument colossales. Sa silhouette devint véritablement titanesque, dépassant désormais Cell d'une bonne tête, presque deux(4.2).
L'énergie brute jaillissant de son corps projeta tout autour d'eux des gerbes de ki doré, embrasant l'air ambiant, secouant même la terre sous leurs pieds. À quelques kilomètres de là, Krilin, portant toujours Vegeta sur ses épaules, ressentit le déferlement écrasant de la puissance de Trunks. Troublé par l'intensité de ce ki, il se posa rapidement sur une petite île déserte à proximité, déposant Vegeta sur le sol, pour observer, fasciné et inquiet, la suite du combat au loin, car il pouvait imaginer chaque action en fonction de chacun des mouvements de ki des deux adversaires.
Face à Cell, Trunks triompha intérieurement, savourant la supériorité évidente que lui procurait désormais ce corps titanesque. Il leva le poing gauche – pouce en l'air – pointant sa propre stature, sans se soucier de l'imitation de son père qu'il donnait à voir :
— « Tu vois ça, Cell ? Cette puissance absolue… voilà la véritable force des Saiyans ! Voilà ma véritable puissance ! »
Cell, pourtant, resta impassible. Pire encore, il se mit à ricaner, de manière lente et mesurée, dégageant une assurance déroutante :
— « Je dois admettre que c'est impressionnant. Ta puissance va bien au delà de la mienne, sans conteste tu es bien plus fort que moi…(5) Mais tu ne comprends rien, Trunks. Peu importe à quel point tes muscles se gonflent, peu importe ta puissance… tu ne pourras jamais me vaincre. Jamais, en aucune façon. »
Pris au dépourvu par cette déclaration inattendue, Trunks resta un instant bouche bée, son ego blessé vacillant légèrement sous cette affirmation si péremptoire. Mais il se reprit rapidement, son visage exprimant une fausse hilarité moqueuse :
— « Pfff, du bluff oui… Tu dois être en train de délirer, Cell, c'est complètement contradictoire ton histoire ! Tu racontes n'importe quoi simplement pour essayer de me déstabiliser. Tu sais aussi bien que moi que je suis bien au-delà de ce que tu peux gérer. Ta perfection autoproclamée ne vaut rien face à ma force réelle ! »
Malgré cette réponse arrogante, Trunks sentit tout de même une légère pointe de doute venir ternir l'exaltation qui l'animait quelques secondes auparavant. Il écarta rapidement cette pensée parasite, se reconcentrant sur l'immense satisfaction que lui procurait son nouveau corps, cette véritable incarnation du potentiel Saiyan absolu. Mais au fond de lui, dans un coin reculé de son esprit, les paroles de Cell continuaient de résonner, laissant planer un doute subtil. Trunks chassa immédiatement cette impression désagréable, resserrant encore ses poings, prêt à prouver, par ses actes plutôt que par ses mots, qu'il était bel et bien le guerrier ultime qu'il prétendait être.
Chapitre 5 : Déchaînement et avertissement
Trunks ne prit pas la peine de répondre davantage aux provocations de Cell. Sa puissance concentrée à l'extrême dans ses muscles massifs, il se propulsa soudainement à pleine vitesse vers son adversaire en rugissant. La distance qui les séparait fut parcourue en une fraction de seconde, et son poing colossal frappa enfin le visage de Cell avec une brutalité jouissive. Le monstre fut violemment projeté sur le côté, tournoyant comme une feuille prise dans une bourrasque. Pourtant, avec une agilité déconcertante, Cell déploya immédiatement ses ailes pour se stabiliser en plein vol, avant de filer comme une flèche vers les hauteurs du ciel.
Mais Trunks n'en avait pas fini. Le guerrier Saiyan bondit aussitôt à sa poursuite, animé d'une excitation sauvage. En quelques battements de cœur, il se retrouva face à Cell, les bras plaqués contre ses côtes. Sans hésitation, Trunks ouvrit le feu avec un puissant kikoha de la main gauche, immédiatement suivi d'une deuxième attaque, lancée par sa main droite. Mais ce n'était que le début. Ses mains enchaînèrent avec rapidité et précision une vingtaine, une trentaine, une quarantaine de kikohas consécutifs, qui percutèrent le corps du monstre en libérant une série assourdissante d'explosions. Un gigantesque nuage de flammes incandescentes et de fumée noire engloutit complètement Cell, obscurcissant momentanément tout le ciel autour d'eux.
Trunks interrompit son assaut pour observer, bras tendus devant sa poitrine puissante, attendant patiemment que le rideau épais de fumée se dissipe. Il ressentit alors un soupçon de surprise teinté d'espoir, se demandant intérieurement si une attaque aussi simple avait vraiment pu suffire à détruire la prétendue perfection incarnée par Cell. « Il est où ? L'aurait-je vraiment désintégré avec une technique aussi simple ? ». Cela lui semblait improbable. Mais ce moment d'incertitude fut brutalement interrompu par une douleur fulgurante : sans prévenir, le monstre s'était silencieusement déplacé grâce à ses ailes et venait tout juste de lui asséner littéralement un violent coup de pied sur son postérieur ferme et proéminent, le projetant vers l'avant.
L'onde de choc continuait de faire vibrer le fessier du Saiyan comme une vulgaire masse gélatineuse, laissant une chaleur mordante. Un peu surpris et surtout humilié dans son amour propre, Trunks serra les dents, sa colère redoublant de vigueur. Il stabilisa immédiatement sa trajectoire et répliqua sans attendre. Copiant la manœuvre de Cell, il se déplaça à une vitesse phénoménale pour passer derrière lui et décocha un coup de pied terrible au centre du dos du monstre, qui encaissa sans pouvoir esquiver. Le guerrier Saiyan sentit une profonde satisfaction en voyant le corps de Cell se courber sous l'impact, avant d'être à son tour propulsé vers l'avant.
Sans laisser le moindre répit à son adversaire, Trunks le dépassa à toute vitesse et réapparut instantanément face à lui, interrompant brutalement son envol avec un coup de poing massif, porté directement au visage. Le Saiyan déversa alors sur Cell une avalanche impitoyable de coups, ses poings gigantesques martelant le corps du monstre comme des marteaux de guerre sur une enclume. Chaque impact faisait vibrer les os de Trunks, réveillant en lui une excitation guerrière presque extatique, son sexe se gonflant progressivement, échappant à la contrainte du textile élastique. Il sentait une montée intense d'adrénaline et de plaisir sauvage parcourir ses veines à chaque frappe portée, galvanisé par ce sentiment euphorique de domination physique totale. Le déhanché imposé par sa chorégraphie frénétique de coups faisait osciller son membre, frottant encore et encore l'appendice contre le tissu de sa combinaison de combat, ajoutant une autre couche d'euphorie.
L'instant suivant, concentrant une quantité considérable de ki dans son poing droit, Trunks libéra toute sa puissance dans une attaque décisive. Avec un cri féroce, il exécuta le Super God Hammer Fist, son poing chargé d'énergie écrasant violemment la pièce triangulaire située au centre de la poitrine de Cell. Le monstre vacilla sous le choc, sans avoir le temps de réagir, avant que Trunks ne termine son enchaînement en propulsant vers lui un puissant kikoha à bout portant.
L'attaque heurta Cell de plein fouet, le projetant impitoyablement vers le sol, où une explosion assourdissante secoua toute l'île, créant un cratère fumant à l'endroit précis de l'impact.
Depuis le ciel, Trunks contempla fièrement son œuvre, une expression satisfaite sur son visage implacable. Par réflexe, il passe une de ses mains dans son entrejambe, tirant et réajustant le tissu autour de sa poutre proéminente pour la repositionner, dans un souci de confort. Il attendit patiemment, bras désormais croisés, que les fumées se dissipent, persuadé d'avoir enfin pris l'avantage. Pourtant, lorsque la poussière retomba, son regard se durcit instantanément. Cell se redressa lentement, émergeant du cratère fumant comme si de rien n'était. Il s'épousseta calmement, tourna légèrement la tête de côté, et cracha au sol une gerbe de salive teintée d'un peu de sang.
Un sourire narquois sur les lèvres, Cell releva les yeux vers le Saiyan :
— « Impressionnant, Trunks. Très impressionnant, vraiment. Mais je te l'ai déjà dit, et je le répète encore : tu ne pourras jamais me vaincre, peu importe combien tu te démènes. »
Trunks sentit sa colère enfler brutalement à ces paroles. Son visage, déjà tendu par la concentration et l'effort, se crispa davantage, dévoilant des veines saillantes sur ses tempes. Son corps massif tremblait légèrement, sous l'effet combiné de la rage et de la frustration. L'aura dorée autour de lui se remit à crépiter intensément, ses poings serrés au point que ses jointures blanchirent. Chaque muscle de son corps se tendit sous l'effet d'une tension extrême, amplifiant davantage son impressionnante silhouette de titan.
Face à l'arrogance froide de Cell, Trunks sentit monter en lui une détermination farouche. Sa fierté Saiyan, déjà exacerbée par sa propre puissance, refusait obstinément d'accepter les paroles de son adversaire. Il était impossible, inconcevable, que cette créature artificielle puisse lui tenir tête aussi aisément. Pourtant, malgré toute sa confiance en lui-même, il ne pouvait ignorer totalement l'ombre d'un doute infime qui persistait dans les recoins les plus profonds de son esprit.
Mais cette hésitation fugitive fut rapidement balayée par sa fierté guerrière. Non, il ne céderait pas au doute. Pas maintenant, pas devant ce monstre. La lutte était loin d'être terminée, et il lui restait encore beaucoup à prouver. D'un geste presque provocateur, il décroisa lentement ses bras, affichant une posture ouverte et menaçante.
— « Tu peux répéter autant de fois que tu veux tes avertissements, Cell. Ça ne changera rien au résultat final. Je suis le guerrier Saiyan ultime, et ta perfection supposée n'est qu'un mensonge. Tu vas tomber sous mes coups, ici et maintenant. »
Le silence se fit lourd entre les deux guerriers, tandis que leurs regards s'affrontaient une fois de plus dans un duel de volontés implacables. Autour d'eux, l'atmosphère même semblait chargée d'une électricité palpable, annonçant que les prochaines minutes seraient décisives.
Chapitre 6 : L'inversion brutale
Trunks ne s'en rendait pas encore compte, mais chaque pore de sa peau libérait à présent une sueur abondante, saturant le tissu de sa tenue de combat. Sa combinaison, auparavant d'un bleu roi éclatant, avait viré en un bleu de minuit profond à plusieurs endroits, collant étroitement à son corps massif, accentuant encore davantage la définition impressionnante de ses muscles. Pourtant, aveuglé par sa propre fierté, son orgueil démesuré avait pris le dessus sur toute analyse rationnelle. Convaincu de sa supériorité physique, il ignora totalement les signaux subtils envoyés par son corps surmené.
Dans un élan de rage guerrière, le Saiyan s'élança à nouveau sur Cell, déversant sur lui une pluie sauvage de coups de poing et de pied. Les premiers coups firent mouche avec une précision redoutable, chaque impact résonnant comme un coup de tonnerre. Mais insidieusement, à mesure que les échanges s'intensifiaient, l'efficacité redoutable des frappes de Trunks commença à s'émousser. Lentement mais sûrement, le monstre parfait retrouvait son aisance habituelle, bloquant puis esquivant progressivement les attaques du Saiyan avec une facilité croissante.
Un sentiment de frustration naquit chez Trunks tandis qu'il constatait, impuissant, ce changement subtil dans la dynamique du combat. Sa respiration devenait plus difficile, son rythme cardiaque augmentait dangereusement, et une fatigue étrange alourdissait ses membres hypertrophiés. Sans même s'en apercevoir, il bascula lentement d'attaquant à défenseur, contraint de lever ses énormes avant-bras en guise de bouclier. Les impacts répétés des poings de Cell s'imprimaient douloureusement sur ses muscles, chaque frappe marquant sa peau rougie d'hématomes naissants.
Caché derrière ses bras massifs, Trunks commença à ressentir une anxiété grandissante. Il comprenait vaguement que quelque chose n'allait pas, mais son esprit embué par la fatigue et l'ego ne parvenait pas à identifier clairement la cause de cette inversion brutale des rôles. Tout ce qu'il savait, c'était que chaque respiration lui coûtait davantage, chaque coup encaissé était plus douloureux que le précédent.
Soudain, sans prévenir, Cell asséna un coup de pied chirurgicalement précis dans le vaste latéral de sa cuisse droite. La douleur fut si soudaine et intense que Trunks écarta involontairement les bras, révélant une ouverture béante dans sa défense. Cell, en parfait stratège, profita immédiatement de cette brèche, décochant une série implacable de coups précis au niveau des deltoïdes et des biceps gonflés de Trunks, brisant totalement la posture défensive du Saiyan.
Désarçonné, le guerrier tenta maladroitement de reculer, mais Cell ne lui laissa aucun répit, se rapprochant encore davantage et martelant désormais directement l'armure du Saiyan. Trunks eut alors un choc brutal en constatant que les coups de poing du monstre n'étaient plus simplement gênants ; ils lui infligeaient désormais une douleur vive et profonde dans l'abdomen. Il sentit la panique monter en lui tandis que son souffle devenait de plus en plus court, ses pensées se brouillant en une spirale chaotique de confusion et de terreur.
Cell, totalement maître de la situation, enchaîna avec une précision glaciale : coup de poing violent dans l'estomac, crochet puissant du gauche dans la joue, direct impitoyable du droit dans le nez. Chaque impact était accompagné d'un craquement sinistre, le visage du Saiyan se tordant sous la violence implacable du monstre. Trunks tenta vainement de se ressaisir, mais son corps massif semblait désormais trop lourd à mouvoir, ses réflexes embourbés dans une lenteur exaspérante.
Soudain, après deux violents crochets dans les joues, Cell propulsa sa paume ouverte sous le menton du Saiyan, lui faisant basculer la tête en arrière avec une brutalité calculée et dans un craquement sinistre de l'os de la mâchoire inférieure. Le Saiyan, désorienté et vulnérable, n'eut pas le temps de réagir lorsque, dans un éclair de cruauté froide, Cell planta impitoyablement son coude en plein dans le sillon inter-pectoral(6) de Trunks.
Le temps sembla brutalement ralentir, chaque microseconde s'étirant à l'extrême. Le Saiyan ouvrit grand les yeux, ses pupilles dilatées louchant légèrement vers le bas, observant avec horreur le coude pointu du monstre s'enfoncer profondément dans sa poitrine. Sa bouche s'écarta lentement dans une grimace grotesque de douleur pure, ses lèvres se retroussant dans un rictus horrible et déformé. La douleur se répandit instantanément dans tout son être, irradiant dans chacun de ses muscles, chacune de ses côtes, chaque nerf à vif. Pourtant, aucun son ne sortit de sa gorge, figée par la souffrance insoutenable. Seul résonnait, en écho infini dans son crâne, un hurlement silencieux d'agonie.
Le choc avait été si violent que les pieds massifs du Saiyan s'étaient enfoncés dans le sol jusqu'aux chevilles, clouant littéralement Trunks sur place. Son armure élastique, poussée à sa limite extrême, lutta vainement pour retrouver sa forme originelle, tentant de repousser désespérément le coude meurtrier de Cell. Mais le monstre, impassible, maintenait une pression implacable, refusant de céder un seul centimètre.
Soudain, l'horreur de la douleur fut amplifiée par un son brutal et répugnant : une gerbe massive de sang écarlate mêlée de salive jaillit de la bouche grande ouverte de Trunks, éclaboussant grotesquement son armure et le visage impassible du monstre. Le Saiyan resta figé ainsi, suspendu dans un instant d'éternité atroce, son corps tout entier submergé par cette souffrance inédite.
Finalement, avec un sourire pervers de satisfaction, Cell retira lentement son coude, laissant Trunks immobile, les jambes à moitié fléchies, les pieds ancrés dans le sol, une main tremblante portée instinctivement vers son torse meurtri, l'autre bloquée à mi-course par les spasmes de ses muscles. Le Saiyan respirait désormais par à-coups douloureux, ses poumons sifflant désespérément pour retrouver de l'air, ses yeux embués de larmes incontrôlées. La réalisation brutale de sa vulnérabilité vint le frapper avec autant de violence que le coup porté par Cell. Le guerrier parfait n'avait pas seulement brisé sa défense physique ; il avait ébranlé jusqu'au plus profond de son être la confiance et l'ego surdimensionné qui l'avaient porté jusque-là.
Cell, d'un calme absolu, fixa Trunks avec une expression narquoise teintée de pitié :
— « Alors, Saiyan ? Tu comprends enfin ce que j'essaye de te dire depuis le début ? Peu importe combien tu gonfles ces muscles ridicules, peu importe à quel point tu crois être fort, tu ne pourras jamais surpasser ma véritable perfection. »
Face à ces mots cinglants, Trunks sentit la honte brûlante se mêler à la douleur physique intense. Le doute, qu'il avait repoussé jusqu'ici avec une obstination aveugle, commençait lentement à s'infiltrer dans chaque fissure de son esprit meurtri. Le Saiyan vacilla légèrement, cherchant désespérément un dernier sursaut de force ou de dignité. Mais en cet instant précis, submergé par la douleur et l'humiliation, Trunks ne put qu'observer, impuissant et terrifié, le sourire cruel du monstre qui lui faisait face.
Chapitre 7 : La chute du colosse
Cell ne perdit pas une seule seconde après avoir brisé l'ego de son adversaire. D'un mouvement d'une précision redoutable, le monstre parfait arma son poing depuis le sol, décrivant lentement un large quart de cercle avant de frapper violemment la mâchoire de Trunks par en-dessous. Le coup déclencha un triple éclatement simultané : son aura de ki se dispersa brutalement, éteinte comme une flamme soufflée ; ses pieds, jusqu'alors enfoncés dans la roche, furent arrachés de leur gangue de pierre dans un fracas de roche brisée ; et sa bouche libéra un épais mélange de salive et de sang projeté sous pression par les commissures de ses lèvres. Le Saiyan sentit brutalement sa tête basculer vers l'arrière sous l'impact, avant que son corps entier ne soit propulsé dans les airs avec une violence inouïe.
La trajectoire de Trunks dessina une longue courbe dans le ciel, avant qu'il ne s'écrase violemment plusieurs centaines de mètres plus loin, fracassant et pulvérisant tout ce qui se trouvait sur son passage. Son corps massif rebondit brutalement sur le sol à plusieurs reprises, roulant douloureusement en boule, brisant d'énormes rochers comme s'ils n'étaient que du verre. Chaque obstacle changeait sa course, sa tête défonçant une barre rocheuse, ses fesses creusant un profond sillon, ses pectoraux raclant le sol - son pénis tendu ajoutant un sillon additionnel dans ce labour incontrôlable. Finalement, après une course chaotique et destructrice, il acheva sa chute au fond du même cratère où Vegeta avait connu l'humiliation, une heure auparavant.
Épuisé et meurtri, Trunks rassembla péniblement ses dernières forces pour se redresser lentement, posant lourdement à mi-course ses mains tremblantes sur ses genoux pour reprendre un souffle qu'il ne semblait plus capable d'attraper. Chaque inspiration était douloureuse, ses poumons sifflant désespérément pour trouver de l'air. Le regard trouble, il fit le terrible inventaire des dégâts subis par son corps désormais malmené.
Sa musculature hypertrophiée, qui lui avait initialement procuré tant de satisfaction narcissique, était maintenant recouverte d'impacts en creux, profonds et douloureux, résultats directs des frappes impitoyables de Cell. Pire encore, en baissant les yeux, il découvrit avec horreur que la plaque ventrale de son armure Saiyan, autrefois fière et solide, était désormais déformée, ses bandes horizontales tordues et vrillées par les coups incessants du monstre. Trunks sentit son cœur se serrer d'angoisse à cette vue : l'armure censée incarner la résistance absolue avait été réduite en une masse difforme, témoin silencieux de sa vulnérabilité grandissante. Même son sexe, encore partiellement gorgé de sang, avait perdu de sa superbe, réduit à une mi-molle plaquée le long de son aine gauche, entravant légèrement la mobilité de sa cuisse.
Redressant difficilement la tête, son regard se fixa sur l'horizon, juste au ras du sol. Là, au loin, il vit Cell s'avancer tranquillement vers lui, lentement, impitoyablement, comme un prédateur sûr de sa victoire imminente.
Durant ce bref instant suspendu, mains toujours appuyées sur ses genoux, le temps sembla se figer dans l'esprit du Saiyan. Il passa rapidement en revue tous les prétendus avantages qui auraient dû faire de cette transformation une arme ultime : puissance brute démultipliée, musculature titanesque, force physique absolue. Toutes ces promesses de supériorité, qui avaient alimenté son ego au-delà du raisonnable, semblaient soudainement dérisoires. La réalité était bien différente : il avait sacrifié sa vitesse, perdu son agilité, gaspillé son endurance dans une transformation incapable de concrétiser son potentiel destructeur. La frustration et le doute l'envahirent, une grimace amère se dessina sur son visage défait.
Mais rapidement, tel un réflexe primitif, l'orgueil et la testostérone reprirent violemment le dessus. Sa fierté de Saiyan refusait obstinément d'accepter cet échec humiliant. Une voix intérieure, dominée par la colère et l'ego blessé, lui hurlait de puiser encore plus profondément dans ses réserves, convaincue que la clé de la victoire résidait toujours dans une force encore plus démesurée.
Avec un cri de rage, Trunks réactiva brutalement son aura, libérant autour de lui un tourbillon de ki si intense qu'il provoqua instantanément l'explosion du cratère. Le sol se fissura de toutes parts, des fractures immenses se propageant dans toutes les directions, morcelant davantage cette île déjà réduite à l'état de ruines. Ce déploiement de puissance eut pour effet de lisser à nouveau ses muscles endommagés et de redonner un semblant de forme à son armure abîmée, comme un drap qu'on tend pour effacer les plis. Mais dans l'aveuglement de sa fureur guerrière, il ne remarqua pas que cette nouvelle augmentation de ki dégradait encore davantage sa précision, sa vitesse, et son agilité.
Le guerrier Saiyan s'élança alors tête baissée vers Cell, croyant fermement que cette ultime poussée de puissance brute suffirait enfin à écraser son adversaire. Pourtant, au moment même où il lança son poing colossal, Cell disparut instantanément de son champ de vision. Le coup dévastateur de Trunks ne fit que fracasser lamentablement le sol vide où se tenait précédemment le monstre parfait.
Trunks se redressa aussitôt, paniqué, la sueur dégoulinant de son visage crispé tandis qu'il pivotait maladroitement pour localiser son ennemi. À droite, derrière, à gauche, il cherchait, cherchait son adversaire. Trop tard. Cell apparut subitement à côté de lui, frappant violemment avec le plat extérieur de sa main la tempe du Saiyan, qui chancela sous le choc. Sa vision fut brouillée, une image fixe recouverte de la même image allant et venant sur un plan horizontal. Son cerveau venait-il de rebondir contre les parois internes de son crâne ? Paralysé par la violence de l'impact, Trunks n'eut aucun moyen de réagir lorsque le monstre se plaça habilement derrière lui et lui infligea brutalement une clé de bras vicieuse, exploitant impitoyablement la taille démesurée de ses muscles contre lui-même.
Le Saiyan sentit une douleur fulgurante irradier depuis son bras bloqué, la pression intense infligée par Cell amplifiée par le volume absurde de ses biceps gonflés. Il tenta désespérément de se dégager, mais la masse musculaire hypertrophiée, qu'il avait tant appréciée auparavant, devenait désormais une entrave mortelle. Chaque tentative de mouvement semblait le blesser davantage, ses propres muscles comprimés se retournant douloureusement contre lui-même.
La panique commença alors à submerger Trunks, son cœur battant violemment dans sa poitrine. Il sentit ses yeux s'embuer d'une humidité brûlante, des larmes de frustration et d'impuissance menaçant dangereusement de couler. Comment avait-il pu en arriver là ? Comment cette forme qui devait symboliser la supériorité absolue des Saiyans pouvait-elle le trahir aussi violemment ? Il voulait hurler de rage, de honte, de douleur, mais sa gorge nouée ne produisait aucun son.
Cell resserra davantage sa prise, une expression presque amusée sur son visage :
— « Alors, Trunks ? Où est passée ta confiance en ta force imbattable, en cette forme soi-disant ultime ? Tu comprends enfin l'erreur grotesque que tu as commise ? »
Le Saiyan serra les dents, secouant vainement la tête, tentant de chasser ce sentiment de défaite qui l'écrasait. Mais la vérité brutale était là, implacable : son corps surdimensionné, censé incarner la perfection guerrière, était devenu son pire ennemi. Incapable de répliquer, piégé dans sa propre chair, Trunks était désormais à la merci totale de son adversaire. Ainsi, au cœur de cette île ravagée, Trunks resta immobile, ne pouvant émettre que de petits gémissements étouffés, dévoré par la douleur et l'humiliation, tandis que Cell, victorieux, maintenait fermement son emprise, savourant chaque seconde de cette démonstration impitoyable de sa supériorité absolue.
Chapitre 8 : Martèlement impitoyable
Brusquement, Cell relâcha son étreinte, libérant Trunks de sa clé de bras douloureuse. Mais loin d'être un acte de pitié, ce geste n'était qu'un prélude à une cruauté renouvelée. Le Saiyan fit quelques pas hésitants pour échapper à son adversaire, mais avant même que Trunks n'ait eu le temps de reprendre son souffle, le monstre lui décocha un terrible coup de poing dans la joue, dont les tissus mous se déformaient sous la pression, son œil se révulsait avant de revenir en place au rythme des ondes de choc. Le temps sembla ralentir brutalement, chaque instant devenant une éternité douloureuse alors que la mâchoire de Trunks s'inclinait sous l'impact, libérant un filet de salive mêlée de sang de plus en plus dense aux commissures de ses lèvres entrouvertes.
Son corps massif, devenu extraordinairement lourd, ne tomba pas sous l'effet du choc. Au lieu de cela, ses pieds glissèrent lentement sur le sol rocailleux, creusant deux profondes tranchées qui s'allongèrent sur plusieurs mètres. Trunks se tint droit malgré tout, telle une statue martyrisée, encaissant stoïquement chaque nouveau coup. Cell enchaînait méthodiquement les frappes avec une précision mécanique : joue gauche, ventre, joue droite, ventre, nez, ventre. À chaque impact, les bottes du Saiyan creusaient encore davantage le sol, son corps massif traîné irrésistiblement vers l'arrière, pourtant toujours debout, le regard fixe, comme si une fierté primitive refusait obstinément de céder à la douleur.
La taille immense, colossale, de Trunks fait de lui une cible facile à atteindre, et Cell ne se prive pas. Ventre, menton, épaule droite, biceps gauche, aine droite, ventre, cuisse gauche. Cell explore toute la surface offerte par son adversaire. Mais la résilience du Saiyan finit par atteindre ses limites. Un dernier coup, impitoyable et précis, s'enfonça profondément dans son abdomen. Cette fois, la douleur fut trop vive. Trunks plia violemment en deux, ses mains tremblantes se crispant instinctivement sur son ventre meurtri, alors qu'une douleur foudroyante irradiait à travers chaque muscle, chaque fibre nerveuse de son corps. Cell avait retiré son poing, mais l'impact ne se résorbait pas. Il ouvrit la bouche en un hurlement muet, fixant le sol d'un regard vitreux, ses yeux louchèrent et tournaient dans des sens contraires à toute vitesse. Il était submergé par une nausée insoutenable sous l'effet stroboscopique de sa vision. À cet instant précis, il crut vraiment qu'il allait vomir tripes et boyaux, incapable de contrôler les spasmes douloureux de son estomac ravagé.
Pendant cette fraction d'éternité atroce, Trunks revécut mentalement les pires moments de son existence. Les souvenirs des coups terribles infligés par C-17 et C-18 dans son futur apocalyptique refirent brutalement surface. Chaque impact du passé résonnait douloureusement dans son corps présent, le hantant comme une malédiction tenace. Puis, comme pour enfoncer encore davantage le clou, il revit avec une netteté horrible le coup dévastateur porté par Cell dans son sillon inter-pectoral, cette frappe vicieuse qui avait définitivement brisé son illusion de supériorité. Enfin, son esprit torturé rejoua en boucle, avec une cruauté presque masochiste, cette dernière série impitoyable d'attaques que le monstre venait de lui infliger.
À peine conscient, au bord de l'effondrement total, Trunks sentit ses jambes trembler dangereusement, menaçant de céder sous son poids alors que son visage semblait s'approcher de plus en plus du sol. Mais Cell, implacable et cruel, n'en avait pas encore terminé. Comme une machine de guerre froide et méthodique, il s'assit brièvement au sol, prenant appui sur ses bras musclés, avant d'expédier brutalement un double coup de pied directement dans la poitrine de son adversaire. Le corps massif de Trunks fut projeté violemment dans les airs, telle une poupée de chiffon lancée sans égard à travers le ciel.
Pendant qu'il tournoyait impuissant, Trunks eut une pensée fugitive, terrifiée : allait-il subir exactement le même sort que son père ? Il tenta désespérément de se ressaisir, mais son corps refusait obstinément toute réaction physique, totalement paralysé par l'épuisement et la douleur. La panique s'empara alors violemment de son esprit déjà fragile, son cœur s'emballant dans une terreur absolue.
Alors qu'il continuait son ascension incontrôlée vers le ciel, il sentit soudainement Cell se matérialiser derrière lui, stoppant brutalement sa trajectoire en plein vol. Le monstre empoigna fermement la nuque de Trunks de sa main gauche, tandis que sa main droite agrippait solidement la ceinture de son armure. Mais ce répit fut de très courte durée, car sans la moindre hésitation, il lui asséna un violent coup de genou dans l'abdomen.
La douleur fut instantanément insoutenable, mais Cell n'en avait pas encore terminé. Il répéta le coup, puis encore une fois, et encore une autre, martelant sans pitié le ventre du Saiyan avec une cruauté presque mécanique. À chaque impact, Trunks sentait ses entrailles se tordre sous la pression atroce. Le dernier coup de genou fut particulièrement dévastateur, sa violence si extrême qu'une bosse effrayante se forma immédiatement dans le dos du Saiyan, conséquence directe de l'onde de choc. Trunks ouvrit alors grand la bouche et hurla enfin à l'agonie, un cri déchirant de souffrance pure, résonnant comme une lamentation désespérée alors que le monstre relâchait sa proie.
Trunks flottait dans les airs, l'onde de choc dans son ventre annulant la gravité qui le rappelait pourtant dangereusement vers le sol. Sans aucune pitié, Cell leva lentement ses deux poings réunis au-dessus de sa tête, en une masse compacte semblable à un marteau. Puis, avec une brutalité froide et sans appel, il abattit violemment ses poings joints sur le dos du Saiyan, l'expédiant comme une météorite vers le sol dévasté en contrebas.
Le corps de Trunks heurta la terre avec une force cataclysmique, soulevant instantanément un immense nuage de poussière et de débris. Une explosion assourdissante secoua toute l'île, provoquant de nouvelles fissures béantes dans le paysage déjà dévasté. Puis, progressivement, dans un silence inquiétant et oppressant, la poussière retomba lentement, laissant apparaître le cratère profond creusé par l'impact brutal du Saiyan.
En haut, dans le ciel, Cell contempla tranquillement le spectacle, croisant lentement ses bras sur sa poitrine, un sourire de satisfaction absolue gravé sur son visage froid et impassible. La démonstration était sans équivoque : le guerrier parfait venait une fois de plus de prouver sa supériorité totale.
Au fond du cratère fumant, enseveli sous une épaisse couche de gravats et de terre retournée, Trunks gisait immobile. Son corps colossal, autrefois symbole triomphant de sa fierté Saiyan, était maintenant une masse inerte et brisée, consciente mais immobilisée. Sa respiration saccadée soulevait difficilement sa poitrine meurtrie, son esprit dérivait lentement vers l'inconscience. La douleur physique insoutenable n'était rien comparée à l'humiliation écrasante qu'il ressentait désormais au plus profond de lui-même.
Alors que la pénombre commençait à l'envahir, Trunks sentit une ultime larme brûlante couler le long de sa joue souillée de sang et de poussière. Était-ce ainsi que tout devait finir ? Était-ce vraiment la limite absolue de sa force, de sa fierté, de sa détermination ? Son esprit résistait encore à tomber dans l'inconscience, refusant obstinément d'accepter cette réalité atroce. Au-dessus du champ de bataille ravagé, Cell observa un instant de plus le cratère, puis éclata d'un rire froid et triomphant, savourant pleinement la victoire écrasante qu'il venait de remporter sur le fier Saiyan aux illusions brisées.
Chapitre 9 : La sanction de l'hybris
Après de longues minutes interminables, durant lesquelles le silence était uniquement perturbé par les craquements inquiétants du sol et le bruit des dernières pierres dégringolant du ciel où elles avaient été soulevées, Trunks rassembla péniblement ses dernières forces pour se relever. Le mélange de terre, d'éclats de roches et de gravier ne présentait pas de réelle résistance, mais il était enterré jusqu'à la taille, il dut utiliser ses bras pour s'extraire complètement et se mettre à la surface des matériaux qui tapissaient le fond de l'immense cratère creusé par sa chute. Ses jambes tremblaient, ses bras restaient ballants, vidés de toute énergie après cet exercice d'ordinaire anodin. Du sang coulait de son nez, sa bouche entrouverte laissait s'échapper un abondant filet écarlate, et de profondes cernes marquaient désormais ses yeux ternes et fatigués. L'aura autour de son corps était éteinte. Même si sa transformation était encore active, le guerrier Saiyan n'était désormais plus que l'ombre pathétique de lui-même.
Le regard perdu, Trunks leva lentement la tête vers le ciel, où Cell l'observait froidement, flottant avec une arrogance implacable. Le monstre finit par se décider à descendre lentement, atterrissant à une cinquantaine de mètres du Saiyan. Trunks ressentit alors une émotion étrange et contradictoire : un profond soulagement mêlé à une terreur viscérale. Soulagement que Cell n'ait pas immédiatement repris son déferlement impitoyable de coups, et peur absolue devant l'imprévisibilité du prochain geste du monstre.
Cell décroisa les bras, un sourire narquois étirant lentement ses lèvres :
— « Quel spectacle pitoyable, Trunks. Regarde-toi : aucun sens tactique, aucune expérience… Juste un imbécile avec de gros muscles, tu n'as tenu compte que de ta nouvelle force obtenue en te transformant ! »
Le visage du Saiyan se crispa, chaque mot résonnant en lui comme autant de blessures infligées à son orgueil déjà meurtri. Mais avant qu'il ne puisse articuler la moindre réponse, le sol trembla violemment sous ses pieds. Cell venait brutalement de relâcher son ki, déclenchant une onde de choc monumentale qui balaya une fois de plus toute l'île dévastée. Et devant les yeux incrédules de Trunks, le corps du monstre parfait commença à gonfler rapidement, ses muscles s'hypertrophiant sous sa chitine inviolable, sa silhouette prenant une physionomie troublante de familiarité.
Le cœur de Trunks manqua un battement lorsqu'il réalisa ce qu'il voyait : Cell était en train d'utiliser exactement la même transformation que lui, son Super Saiyan daï san dankaï. Une vague glacée d'humiliation parcourut le corps du guerrier Saiyan, alors qu'il contemplait, impuissant, la facilité grotesque avec laquelle Cell adoptait cette forme qui lui avait coûté tant d'efforts et de souffrances. Tout ce qu'il avait cru être une démonstration unique de sa propre supériorité était désormais réduit à une simple imitation, à une trivialité insultante exécutée sans peine par ce monstre qui partageait son ADN Saiyan.
Cell éclata d'un rire froid, narquois, savourant pleinement ce moment d'humiliation :
— « Tu vois, Trunks ? Même un idiot pourrait atteindre cette forme ridicule » dit-il en adressant un regard dégoûté sur son propre corps. « Quelle ironie que tu aies fondé toutes tes espérances sur quelque chose d'aussi basique ! »
Avant même que le Saiyan ne puisse réagir ou protester, Cell s'élança avec une rapidité surprenante malgré sa nouvelle masse musculaire. Déplaçant un nuage colossal de poussière et de gravats, il arriva sur son adversaire, refermant brutalement ses bras autour du corps de Trunks, dans une étreinte sauvage et implacable. Le Saiyan sentit immédiatement l'étau infernal se refermer sur lui, l'armure de combat craquant sinistrement sous la pression implacable exercée par les bras hypertrophiés de Cell.
Le temps sembla s'arrêter pour Trunks, qui ressentit chaque seconde de cette torture avec une intensité indescriptible. Il sentit ses propres muscles hypertrophiés, source de tant de fierté, comprimés sans pitié contre son squelette, chaque fibre musculaire écrasée douloureusement sous la force du monstre. Son armure tentait vainement de retrouver sa forme d'origine, l'élasticité du matériau poussée à l'extrême, mais elle ne parvenait qu'à amplifier davantage la douleur en luttant désespérément contre l'étreinte écrasante.
À travers cette souffrance insupportable, une étrange sensation submergea soudainement Trunks. Le déplacement massif et soudain du sang provoqué par la compression extrême fit naître en lui une réaction inattendue, une soudaine montée d'excitation physique incontrôlable. Son esprit embrouillé par la douleur et l'humiliation perdit momentanément le contrôle de son corps, et dans cette honteuse ultime sanction de son hybris, il ressentit une chaleur intense, vertigineuse, suivie immédiatement d'une souillure intime, ultime et secrète. Épais mais fluide, le liquide visqueux s'exfiltra entre les fibres compressives de la combinaison, coulant par à-coups en cadence avec les spasmes musculaires qui agitaient encore son corps. Il humecta le tissu, l'imbiba peu à peu, avant de disparaître totalement dans le bleu de minuit de l'entrejambe de sa tenue. Cette libération involontaire, presque orgasmique dans son intensité brutale et dégradante, acheva définitivement de briser son ego. Trunks était désormais conscient d'avoir perdu bien plus qu'un simple combat.
Cell approcha lentement son visage de celui de Trunks, lui murmurant avec mépris à quelques centimètres seulement :
— « Tu n'es pas un guerrier, Trunks. Tu n'es qu'un idiot. La force brute sans vitesse ni agilité ne sert strictement à rien. J'espère que tu en as enfin conscience, à présent. »
Puis, avec une froide indifférence, le monstre relâcha enfin son étreinte meurtrière, rompant aussitôt sa propre transformation hypertrophiée pour revenir à sa silhouette habituelle, élégante et parfaitement proportionnée. Trunks, totalement vaincu, fit péniblement de même, abandonnant lui aussi cette forme grotesque qui l'avait tant desservi. « C'est pour ça que mon père n'a pas eu recours à cette transformation, il avait probablement anticipé le problème », pensa-t'il. À bout de forces, les lèvres tremblantes, il souffla dans un murmure à peine audible :
— « Je… J… J'abandonne… Je… je reconnais ma défaite. »
— « Je n'ai plus aucune chance de gagner… Tue-moi ! »
Cell savoura quelques instants la jubilation intérieure que cette admission de faiblesse lui procurait. Mais malgré cette victoire écrasante sur le Saiyan, le monstre auto-proclamé parfait savait pertinemment que ce combat ne constituait pas une preuve suffisante pour affirmer pleinement sa supériorité sur tous les combattants de cet univers. Non, il avait encore besoin d'un adversaire digne de son potentiel absolu.
Cell leva lentement la tête vers le ciel, son sourire froid laissant place à une expression pensive et impatiente :
— « Amusant ? Certainement pas. Décevant ? Assurément ! Je suppose que je vais devoir attendre encore un peu… Mais ne t'en fais pas, Trunks : grâce à ton échec, j'ai au moins eu un petit interlude, et tu as tout de même le mérite d'avoir tenu plus longtemps que Vegeta. »
Dans le silence lourd et étouffant qui suivit, Trunks resta debout, brisé, humilié, vaincu par son propre orgueil et les limites tragiques de sa transformation mal maîtrisée. L'ultime leçon de son combat résonnait douloureusement en lui, gravée à jamais dans sa chair et son âme. Le Saiyan avait appris, de la manière la plus cruelle et humiliante qui soit, que la véritable perfection guerrière résidait bien au-delà de la seule force brute.
Chapitre 10 : L'ultime humiliation
Jadis verdoyante, la dernière île de l'archipel avait été transformée en un simple caillou rasé par trois combats successifs : entre Vegeta en Super Saiyan daï ni dankaï et Cell sous sa forme semi-parfaite, puis entre Cell forme parfaite et Vegeta, et enfin entre Trunks en Super Saiyan daï san dankaï et cette même forme parfaite de Cell. Elle n'était plus qu'un amas stérile de gravats, barré de cratères et sillons, témoins de la violence des batailles livrées.
Les explosions ayant réduit à néant le vaste archipel, le Final Flash et les kikohas de Vegeta ainsi que la seconde pluie de kikohas de Trunks avaient brusquement réchauffé l'atmosphère, précipitant la naissance d'un orage tempétueux. Le vent soufflait en bourrasques désordonnées, soulevant la poussière en volutes montant jusqu'au ciel, désormais obscurci d'épais nuages où résonnaient les premiers éclairs et coups de tonnerre, qu'on ne pouvait plus confondre avec le ki monstrueux qui se dégageait de la transformation colossale de Trunks.
Ce dernier se tenait droit, épaules tombées, bras ballants le long de son corps, le visage fouetté par le vent tandis que ses cheveux volaient en tous sens. Le regard du Saiyan était vide, fixé sur le sol, trop honteux pour affronter celui de son bourreau, immobile à quelques mètres de lui.
Cell s'avança d'un seul mouvement, saisissant de sa main gauche le visage du jeune Saiyan, pinçant ses joues et le forçant à relever la tête et les yeux. L'expression du monstre était glaciale, il triomphait de la domination qu'il exerçait sur son malheureux adversaire :
— « Alors comme ça, tu as émis le souhait de mourir. Très bien, je vais exaucer ton vœu… »
Krillin, à quelques kilomètres à peine, ne voyait rien de précis, mais il ressentait tout : pour lui, le combat se réduisait à deux immenses sphères de ki. Celle de Trunks était bien cinq à six fois plus grande que celle du monstre parfait, et aussi plus flamboyante, plus vive. Trunks avait mené la danse, enfin, c'est l'impression qu'il avait donné, au début. Peu à peu, la sphère de Cell, toujours plus petite en taille, devint plus vive, plus rapide, tandis que celle de Trunks perdait de sa superbe. Puis, quelques minutes plus tôt, la sphère représentant Cell était devenue gigantesque à son tour, engloutissant et écrasant celle de Trunks, désormais inerte malgré sa taille. Et la panique gagna Krillin :
— « La… la puissance de Trunks vient de diminuer d'un seul coup ! Qu- ? Merde, Cell est toujours aussi fort lui ! N… NON ! Trunks ne peut pas avoir perdu ! Vegeta ! Réveille-toi, Vegeta, avale ce senzu ! » tandis que le guerrier terrien forçait le prince Saiyan à croquer le haricot en lui manipulant la mâchoire…
Trunks sentait la main droite du monstre, à quelques millimètres à peine de son ventre. Le ki de Cell se concentrait dans sa paume, irradiait à travers l'armure et se diffusait dans les muscles endoloris, jusqu'aux organes meurtris du Saiyan. Trunks repensa à la façon dont il avait éliminé King Cold, le père de Freezer, avec une simple projection de ki droit à travers son armure, c'était la même configuration, la même scène était à deux doigts de se rejouer à l'identique. Son esprit vogua vers les souvenirs racontés par sa mère, la façon dont son père aimait à désintégrer ses malheureux adversaires une fois vaincus par l'orgueilleux prince. Cell avait des cellules de son géniteur, et avait démontré posséder quelques uns des traits dominants de certains de ses modèles de référence… « je vais sans doute être réduit en cendres… » pensa-t-il.
— « … mais avant… j'ai quelques interrogations vous concernant toi et Vegeta ». Le monstre observait la réaction des pupilles de Trunks, qui trahissaient la plus grande surprise malgré l'inexpressivité générale de son corps. « Première question : comment toi et ton père avez-vous fait pour augmenter autant votre niveau en si peu de temps ? »
Trunks détourna le regard. Il sentait que le ki de Cell tourbillonnait dans son ventre, comme si ce silence contrariait davantage le monstre, mais il savait qu'il ne pouvait révéler une information aussi cruciale que l'existence de la salle de l'Esprit et du Temps…
— « Pas de réponse ? Alors question suivante : avec du temps supplémentaire, est-ce que vous pourriez encore augmenter votre force ? Cette fois, je veux une réponse ! »
Le guerrier Saiyan était attrapé. Il chercha un sens caché, un piège qui scellerait sa mise à mort. Même avec la main de Cell qui lui pinçait toujours les joues, il balbutia la seule réponse possible :
— « Je… honnêtement, je ne sais pas, il… », Trunks avala sa salive. « Il faudrait essayer… »
Un sourire étiré et satisfait se dessina sur le visage de Cell :
— « Donc, ça veut dire que c'est possible n'est-ce pas… ? Bien… très bien… Encore une question, que fait Goku à cette heure, pourquoi n'est-il pas là ? »
— « Il s'entraîne ». La réponse brève ne prêtait pas à discussion, mais le Saiyan enchaîna, « … dans moins d'un jour, il viendra sûrement t'affronter, et je suis certain qu'il réussira là où nous, nous avons échoué ! »
Excité par cette annonce et la perspective d'affronter Goku, Cell resserra sa prise sur les joues de Trunks. Le Saiyan ne put qu'émettre un « humpf » plaintif et étouffé en fermant les yeux par réflexe. Au moment de les rouvrir, le guerrier Saiyan découvrait l'expression nouvelle sur le visage du monstre, dont la délectation interne se répercutait sur tous les traits faciaux de Cell.
Devant l'air incrédule de Trunks, Cell se lança dans les explications de son projet :
— « Tu n'en as peut-être jamais entendu parler… mais dans le temps, il y avait chaque année un grand championnat du monde d'arts martiaux, Goku a d'ailleurs remporté une des éditions… »
Cell avait fait glisser sa main plus bas que le ventre de Trunks, ayant complètement dissipé le ki qu'il accumulait dans sa paume. Il jeta un coup d'œil rapide à l'entrejambe de son adversaire défait. Trunks avait compris ce qu'il regardait, « merde ! putain de merde !… C'est… c'est pas possible, il a quand même pas remarqué ça pendant notre combat ?! » pensa aussitôt le jeune Saiyan, alors que les battements de son cœur repartaient de plus belle.
— « Je vais en organiser un, une version un peu spéciale, où je serai votre unique adversaire… »
Le pénis de Trunks était lové le long de son aine gauche, encore étiré et partiellement gonflé. Le monstre fit des allers et retours avec le bout de ses index et majeur collés le long de la bosse sous le tissu de la combinaison de combat du jeune Saiyan. Trunks tremblait légèrement, les pupilles dilatées, essayant de garder contenance :
— « Tu… tu veux quoi à la fin ? Pourquoi un championnat ? »
— « Cet événement consacrera aux yeux du monde ma supériorité, et instaurera la terreur dans le monde entier ! Mais qui sait, si vous êtes assez nombreux, vous aurez peut-être une petite chance de me battre, à la longue… »
Cell avait continué de stimuler la gaule du Saiyan, la poutre apparente avait repris sa place, verticale, remontant vers les abdominaux.
— « Si tu veux tout savoir, je ne cherche qu'à m'amuser, les visages défigurés par la terreur de mes victimes humaines, les adversaires que j'écrase sur tous les tableaux… » il marqua une pause, murmurant « je me retenais de te faire ça en particulier depuis une bonne heure au moins ! »
Cell exécuta une double pichenette, ses index et majeur se logeant chacun dans un testicule de Trunks, au même moment où le monstre relâchait les joues du Saiyan. Le jeune guerrier hurla, recula de quelques pas, les mains plaquées contre son entrejambe, puis tomba à genoux tandis que Cell éclatait de rire :
— « Ha ha ha ! Tout cela ne sert qu'à me divertir ! »
La tête de Trunks tomba sur le sol, il se tortillait de douleur en gémissant. Joue sur le sol, il tourna la tête et regarda en direction de Cell, qui se retournait déjà, effaçant complètement son ki, ignorant le guerrier qu'il venait d'humilier à nouveau. Les pensées du Saiyan bouillonnaient, « il… il aurait… pu me fra- … frapper dans les couilles… dès le début… ».
— « Sa- … Salopard… », réussit-il à articuler. Sa voix était à peine audible, étranglée par la douleur qui tétanisait tout son corps.
— « Mon tournoi aura lieu d'ici dix jours, je communiquerai les détails ultérieurement par la télévision… Préparez des senzus et venez nombreux… enfin, si certains d'entre vous ont assez de courage pour oser se présenter à nouveau devant moi ! Ha ha ha ! »
Cell s'envola sans même jeter un dernier regard à son adversaire. Trunks tenta de se relever, sans y parvenir, et se roula péniblement sur le dos. Il écartait les bras pour laisser son entrejambe respirer, haletant bruyamment.
Vegeta et Krillin arrivèrent sur l'île dévastée une quinzaine de minutes plus tard. Krillin poussa un soupir de soulagement en percevant le ki de son ami, confirmant qu'il était bel et bien en vie, malgré la faiblesse extrême de son énergie. Krillin atterrit à ses côtés, observant de plus près les blessures du jeune guerrier Saiyan. Pendant ce temps, Vegeta sondait les environs, « ce maudit Cell n'est plus là » pensa-t-il, avant d'effectuer une seconde inspection purement visuelle, évaluant l'état de l'île, l'ampleur des dégâts.
Krillin n'était pas étonné que Vegeta ignore son propre fils, mais il trouvait ça écœurant, surtout après les risques insensés que Trunks avait pris pour le sauver alors qu’il était inconscient. Il sursauta en entendant une voix autoritaire :
— « Hey ! Le bonze ! Est-ce que tu as encore de ces haricots ? »
— « N- non, c'est Trunks qui en avait sur lui, je n'en ai pa- … »
— « Fait chier » souffla Vegeta entre ses dents, serrant les poings avec une touche de frustration, « Il y en aura au palais du Namek ? »
— « Oui, sans aucun doute, pourqu- … »
Krillin n'eut pas le temps de finir sa question, Vegeta se transforma en Super Saiyan daï ni dankaï, son corps musclé entouré d'un halo vif de ki. Vegeta se posa devant son fils, le saisissant comme une poupée de chiffon par la taille, le jetant sur son épaule gauche. Trunks poussa un gémissement, dissimulé par le crépitement du ki du prince Saiyan. Dans une explosion de poussière, de gravas et de terre, Vegeta s'envola à pleine vitesse en direction du Palais du Très-Haut. Quand la poussière se dissipa, Krillin se retrouva tête en bas contre l'un des derniers rochers encore debout sur l’île. Il avait été projeté là par le décollage précipité du Saiyan, et restait figé, interloqué par la réaction de Vegeta.
Grâce à sa vitesse boostée par la transformation en Super Saiyan daï ni dankaï, Vegeta arriva rapidement au palais. Piccolo attendait les deux Saiyans de pied ferme, senzu en main. Une fois guéri, le jeune Saiyan jeta un coup d'œil au Namek, qui lui fit un signe de tête complice, alors Trunks raconta brièvement son combat - omettant sciemment les détails de sa transformation - avant de rapporter l'idée du monstre d'organiser un tournoi où il sera l'unique adversaire. Vegeta fulmine, « il nous considère comme des jouets ce salopard », et regarde son fils, son armure, les traces évidentes que le combat fut bien plus intense et surtout bien plus violent que ce que le récit décrivait…
Piccolo, de son côté, remarque l'effet positif de la défaite de Vegeta, le Zenkai des Saiyans avait subtilement augmenté son niveau. Le Namek observe aussi Trunks, qui semblait retenir encore plus sa puissance, « oui, sur lui aussi, le Zenkai a fait effet, mais il ne pourra sans doute jamais l'afficher pleinement tant que cela signifiera humilier Vegeta en le surpassant ouvertement… »
Notes :
- (1) La puissance du Super Saiyan daï ni dankaï restreint de Vegeta est de 600'000'000 (600 millions) unités, il domine par sa vivacité et son potentiel restant les 800'000'000 (800 millions) de Cell seconde forme, et lorsqu'il passe au Super Saiyan daï ni dankaï complet à 1'200'000'000 (1,2 milliard) unités, il ne peut cependant rien face au bon 1'500'000'000 (1,5 milliard) unités de la forme parfaite mais restreinte de Cell,
- (2) la puissance du Super Saiyan daï ni dankaï restreint de Trunks est de 550'000'000 (550 millions) unités, mais il se contient d'avantage que son père, son Super Saiyan daï ni dankaï complet se situant à 1'300'000'000 (1,3 milliard) unités – il évite donc de vexer son père avec sa puissance légèrement supérieure... bien que plus musclé que le Super Saiyan de base, il mesure toujours 1,70 mètre...
- (3) le canon de cette transformation est admis à environ 1'000'000'000 (1 milliard) unités ; dans cette fanfic, elle commence à 2'500'000'000 (2,5 milliards) et continue d'augmenter...
- (4.1) ce premier palier fixe une puissance (non canon) de 3'100'000'000 (3,1 milliards) unités, faisant de Trunks Super Saiyan daï san dankaï un combattant plus puissant que Cell ! Il mesure alors 2,10 mètres, dépassant d'une courte tête les 1,95 mètre de Cell – il pèse aussi 140 kg, ce qui commence à représenter une gène pour ses déplacements,
- (4.2) à plein régime, la puissance (non canon) de Trunks Super Saiyan daï san dankaï est proche de 8'500'000'000 (8,5 milliards) unités, sa taille atteint les 2,75 mètres pour 320 kg, c'est un colosse comparé à Cell !
- (5) la puissance de Cell forme parfaite est d'environ 1'500'000'000 (1,5 milliard) unités en mode restrain, et monte à 2'000'000'000 (2 milliards) unités, voire même 3'000'000'000 (3 milliards) unités quand il se montre sérieux... ces valeurs sont plus ou moins conformes au canon,
- (6) dans l'anime, saga Namek, lorsque Vegeta affronte Freezer forme finale, le tyran lui donne plusieurs coups de coude dans la poitrine, juste au dessus de la jointure entre la plaque ventrale et les plaques pectorales de son armure ; toujours dans l'anime, Cell fait de même, donnant à Trunks un coup de coude s'enfonçant dans son buste à peu près au même endroit. C'est sûrement un pur hasard de la chorégraphie de ses deux combats, mais lorsqu'on sait que Cell possède une part de Freezer dans son patrimoine génétique, je me dit que c'est peut-être un clin d'œil des animateurs... c'est en tout cas un élément que je voulais reprendre et mettre un peu plus en avant.
Briefings ChatGPT
Les briefings des chapitres, tels que soumis à ChatGPT, hors ajustements et correctifs IA et manuels de ma part...
Contexte : Saga des androïdes, arc Cell ; Vegeta et Trunks sont tout deux transformés en Super Saiyan daï ni dankaï ; Cell a habillement manipulé Vegeta pour parvenir à absorber C-18 ; Vegeta - même à pleine puissance - est en mauvaise posture face à la forme parfaite de Cell ; Trunks est accompagné par Krilin, ce dernier sent bien que ni Cell ni Trunks n'ont dévoilé leurs pleins potentiels ; Trunks et Krilin observent le combat depuis le ciel.
Chapitre 1
Brief : Vegeta est mal en point, le coup de poing que Cell lui à donné dans le nez fait son effet, le monstre assène alors un violent coup de pied dans le ventre du prince des Saiyans, qui est propulsé comme un boulet de canon vers le ciel. Cell se déplace très rapidement derrière Vegeta et lui assène un violent coup de coude dans le dos, dont l'effet est augmenté par la vitesse en ligne droite prise par Vegeta alors qu'il s'élève dans les cieux. Un terrible craquement se fait entendre, est-ce l'armure de combat de Vegeta, les os de sa colonne vertébrale ? Le Saiyan retombe immédiatement au sol, et tombe inconscient - ces cheveux dorés reprennent leur couleur noire. Cell ressent toujours une petite étincelle de vie dans le corps de Vegeta, et le félicite d'être toujours vivant après ça. Il redescend du ciel pour se poster à ses côtés et le mettre en joue, s'apprêtant à lancer un kikoha mortel de sa main droite. Pendant ce temps, Trunks est estomaqué et décontenancé par la façon dont son père a été vaincu. Krilin lui intime de passer à l'action pour sauver la peau de son père, juste pour réaliser que le jeune Saiyan est déjà en train d'entamer sa transformation. Trunks fait circuler à travers chaque fibre de chaque muscle de son corps la plus grande quantité possible de ki, l'aura enflammée de Super Saiyan daï ni dankaï autour de son corps s'embrase d'avantage et semble se densifier encore. Une tension électrique traverse les organes et muscles de Trunks alors que sa stature commence à changer. Trunks a les yeux révulsés sous l'effet de la transformation, qui s'avère douloureuse. Le petit bout de tissu qui maintenait noués en queue de cheval les cheveux de Trunks se déchire et brûle à cause de l'aura de ki autour de Trunks, aura qui danse tel un incendie violent, avec des sursauts et projections tels des éruptions de ki. Cell ressent la propagation et la densification du ki de Trunks, lève la tête, et est surpris de découvrir Trunks avec un corps musclé qui dégage une puissance sans pareil.
Chapitre 2
Brief : Trunks reprend son calme, ses yeux reviennent à la normale. Il bouge les doigts, serrant ou desserant les poings, et commence à jauger les résultats de sa transformation en Super Saiyan daï san dankaï. Krilin, quelque part entre crainte et admiration, lui demande s'il se sent bien. Trunks répond positivement, et plonge sa main entre sa tenue et son armure, pour en sortir le senzu qu'il confie à Krilin, lui confiant la mission d'évacuer Vegeta et de lui donner le remède le moment adéquat. Krilin acquiese mais s'inquiète de savoir si le jeune Saiyan en possède un pour lui. Trunks sourit, plein de confiance, et réponds qu'il n'en aura pas besoin. Trunks se laisse descendre jusqu'à atterir sur l'île. Durant ses quelques secondes, son esprit est traversé par un tourbillon de pensées égotiques et virilistes à propos de son nouveau corps. Son épaisse aura provocant le soulèvement de nuages de poussière et de gravillons, il disperse son aura corporelle dès qu'il touche le sol, comprimant ce ki dans son corps. Le petit tressautement lui procure une sensation de plaisir, presque auto-érotique. Trunks regarde Cell droit dans les yeux, et lui annonce qu'il va le tuer. Cell sourit, ironisant sur cette soudaine confiance. Le Saiyan s'avance en marchant, profitant du chemin à parcourir pour s'étirer, faire quelques moulinets avec les bras, comme pour s'aligner et calibrer ce corps aux muscles hypertrophiés, évaluant l'écartement de ses épaules et de son bassin, la taille de ses pectoraux, l'épaisseur de ses cuisses, biceps. Il sent le frottement sur sa peau du tissus moulant de sa tenue de combat, il perçoit aussi les zones en creux où l'air rentre et s'échappe à chacun de ses mouvements, s'imprégnant de ses petites informations. Cell avance lui aussi à pieds, et sourie en coin sans rien dire. Trunks et Cell se rejoignent à mi-chemin, le Saiyan est désormais à la même hauteur d'yeux que son adversaire. Ils se toisent sans rien dire pendant quelques secondes.
Chapitre 3
Brief : C'est Cell qui prend l'initiative et décoche le même coup de pied que celui qui projeta Vegeta dans le ciel, mais Trunks, lui, esquiva avec un salto arrière, se remis sur ses pieds et s'élance vers le monstre pour lui décocher un coup de poing. Mais le coup passa trop loin du visage de Cell qui esquiva aussi en se baissant légèrement, se plaçant entre le sol et le guerrier. Le monstre serra le poing et le décocha en plein de le ventre du Saiyan, l'enfonçant jusqu'au niveau du poignet à travers l'armure de combat du Saiyan. Trunks fut soulevé par l'onde de choc, une giclée de salive sortant de sa bouche grande ouverte. Aussitôt le monstre effectua une rotation sur un pied, lançant l'autre en plein dans les pectoraux de Trunks, le projetant en l'air une centaine de mètres plus loin. Trunks glissa encore sur les fesses sur quelques mètres, entraîné par son nouveau poids, mais essayant déjà de se relever avant même de s'arrêter. Il profita de ce bref moment pour jauger les effets du coup de poing, et conclut qu'il n'avait presque rien senti, et c'était un bon signe - son armure comme l'épaisseur de ses muscles renforçant considérablement sa résistance. Trunks, allongé sur le sol, roule sur le dos, et d'un saut agile, se remet debout, au moment où Cell arrive sur lui en volant. Le monstre frappe Trunks, qui repoussé mais se redresse quelques mètres plus loin. S'en suit un échange de coups de poings ou aucun des deux ne prend le dessus. Finalement, au bout de quelques minutes, Cell lance un coup de coude dans le pectoral droit de Trunks, qui se retrouve repoussé à nouveau. Pendant ce temps, Krilin fait discrètement le tour de l'île pour rejoindre le cratère où gît Vegeta. Au loin, Trunks aperçoit le terrien, lui lançant un clin d'œil pour lui notifier de s'occuper de son père, Cell étant désormais absorbé par son combat avec l'autre Saiyan. Krilin prend Vegeta sur ses épaules, et s'empresse de quitter l'île et part en direction de l'île de maître Tortue Géniale.
Chapitre 4
Brief : Trunks se relève, confiant, prenant le temps d'épousseter coquettement la poussière sur ses fesses, ses cuisses et sur l'avant de son armure. En son fort intérieur, il s'avait qu'il n'était même au tiers, peut-être au quart, de son plein potentiel de Super Saiyan daï san dankaï. Il recommença à embraser son aura autour de son corps, répulsant à nouveau poussière et cailloux tout autour de lui. Cell rompit ce silence, "Nous sommes seuls, Vegeta est à l'abri, tu vas pouvoir arrêter ton petit jeu". Trunks est réellement surpris, mais ne laisse transparaître cet état que quelques secondes à peine. Il demande pourquoi Cell a laissé faire, le monstre réplique qu'il n'a aucun intérêt pour les déchets, et qu'il a face à lui un nouveau motif d'amusement. Trunks reste silencieux, mais la tension est palpable ; il déclare qu'il est là pour en finir avec toutes les créations du Dr Gero, les veines de son visage commençant à apparaître sur ses tempes... Cell, lui, insiste sur le fait qu'il n'est là que pour prouver la supériorité de son corps parfait. Trunks serre très fort les poings, libérant tout son ki, et dans un râle guttural, achève sa transformation, son corps continuant à grandir et ses muscles à grossir. Il dépasse maintenant Cell d'une tête. Le Saiyan triomphe, présentant cette puissance comme étant la véritable force des Saiyans, **sa** véritable puissance à lui. L'aura autour du guerrier Saiyan projette des gerbes de ki dans toutes les directions. Krilin, qui s'éloigne pourtant du lieu du combat, ressent le ki impressionnant de Trunks, et décide de s'arrêter sur une petite île déserte à proximité, allongeant Vegeta sur le sol. Cell, lui, ne se démonte pas, il ricane même et finit par dire que, malgré sa force, sa puissance, Trunks ne pourra pas le vaincre, jamais, en aucune manière. Bouffi d'ego, Trunks est d'abord surpris - même bouche bée - mais se ressaisie puis prend l'annonce de Cell à la rigolade, insinuant que le monstre raconte n'importe quoi pour tenter de le déstabiliser.
Chapitre 5
Brief : Trunks bondi à pleine vitesse sur Cell, lui assène un coup de poing qui fait mouche cette fois-ci, envoyant tournoyer le monstre, qui utilise ses ailes pour se redresser, et aussitôt s'échapper vers le ciel. Trunks s'élance à sa poursuite, et à peine arrivé face à lui, lui balance un kikoha de la main gauche, puis de la main droite, puis enchaîne une trentaine de kikohas, qui explosent sur le corps de Cell en générant un gigantesque nuage de flammes et de fumées noires. Trunks s'arrête, laissant le temps au nuage de se disperser, pour constater - un peu surpris - que Cell n'est plus là. L'avait-il désintégré avec une technique aussi basique et sans plus d'efforts ? Non, le monstre a utiliser la vitesse silencieuse de ses ailes pour contourner Trunks et lui asséner - littéralement - un coup de pied au cul qui repousse le Saiyan dans les airs. Trunks se ressaisit et effectue exactement la même manœuvre, passant derrière Cell et lui infligeant un violent coup de pied dans le dos. Trunks se déplace à toute vitesse pour repasser devant le monstre, et interrompt sa course d'un violent coup de poing. Trunks donne plusieurs coups de poings sur le corps de Cell, ce déferlement et ce pilonnage faisait monter en lui un sentiment d'excitation et de plaisir. Trunks charge du ki dans son poing droit, et utilise le *super god hammer fist* dans la pièce triangulaire au centre de la poitrine du monstre, et enchaîne avec un puissant kikoha qui expédie Cell au sol avant d'exploser. Trunks, depuis le ciel, se tient droit, les bras croisés, face à Cell, mais ce dernier se relève, ne semblant pas spécialement affecté, même s'il crache de côté une giclée de salive mélangée d'un peu de sang. Cell réitère son avertissement, le jeune Saiyan ne pourra le vaincre. Trunks serre les dents, la colère se lisant de toutes les façons, son visage, la tension dans ses poings, dans la danse de l'aura de ki autour de son corps...
Chapitre 6
Brief : Trunks ne s'en rendait pas encore compte, mais tout son corps transpirait ; sa tenue de combat, d'un bleu roi, avait viré au bleu de minuit à de nombreux endroits, la sueur ajoutant au matériau élastique une plus grande adhérence à la peau. Son ego et sa fierté prenait le dessus sur la réflexion et l'analyse. Trunks s'élance à nouveau sur Cell, les premiers coups faisant mouche, mais petit à petit, Cell parvient à bloquer, puis à esquiver les coups du Saiyan. Les échanges de coups pleuvent à nouveau, l'efficience des coups de Trunks commence tout doucement à s'émousser, perdant plus en précision qu'en force. Cell commence progressivement à prendre le dessus, imprimant un rythme effréné aux échanges de coups, il finit par forcer Trunks à recourir à sa garde, les traces des poings de Cell s'imprimant dans les gros muscles des avants-bras du Saiyan. Trunks commence à comprendre que quelque chose ne va pas, il passe désormais plus de temps en défense qu'en attaque, et malgré cela, ne parvient pas à reprendre son souffle. Alors que Trunks se cache derrière ses bras et encaisse les coups de poing de Cell, celui-ci décoche un coup de pied dans le vaste latéral. La douleur soudaine lui fait écarter les bras, et Cell profite de l'ouverture qu'il a provoqué pour donner des coups au niveau des deltoïdes et biceps de Trunks, brisant complètement la défense de son adversaire... Le Saiyan tente de reculer mais Cell le serre de près et frappe désormais directement son adversaire sur son armure. Trunks réalise alors que la force des coups de Cell n'est plus la même, il ressentait désormais la douleur infligés par les coups de poing dans son abdomen. Cell enchaîne coup de poing dans le ventre, crochet du gauche dans la joue, direct du droit dans le nez. Trunks tente de se ressaisir, ses pensées fusent et la panique se lit sur son visage quand Cell, après deux crochets dans les joues, le monstre lui fait basculer la tête en arrière avec un coup de paume par en dessous avant de donner un violent coup de coude qui s'enfonce dans le sillon inter-pectoraux, lui infligeant une douleur et lui faisant cracher du sang pour la première fois...
Chapitre 7
Brief : Avec une précision millimétrée, Cell décrit, avec son poing, un grand quart de cercle depuis le sol qui vient percuter par en dessous la mâchoire de Trunks, le Saiyan est propulsé dans le ciel dans une trajectoire courbe, avant de s'écraser plusieurs centaines de mètre plus loin à travers l'île, rebondissant et roulant en boule sur le sol, défonçant sur sa route rochers et relief rocheux, terminant sa course chaotique dans le cratère où son père avait échoué un peu plus d'une heure auparavant. Trunks se redresse péniblement, posant ses mains sur les genoux pour reprendre son souffle, et faire le terrible constat de son état... Son corps musclé de Super Saiyan daï san dankaï, est partout recouvert des empreintes en creux des nombreux coups de poing que Cell lui a donné au cours des dernières minutes. Pire, le motif de la plaque ventrale de son armure - de larges bandes horizontales - sont complétement tordues, vrillées par les assauts quasi-omnidirectionnels du monstre qui ont touché ses tissus musculaires. Redressant un peu la tête, son regard se retrouve, depuis le fond du cratère, au raz du sol, et il aperçoit au loin Cell qui avance tranquillement vers lui. Trunks tente de reprendre son sang froid, mais la frustration reste la plus forte. Il réactive son aura autour de son corps, et puise dans ses derniers retranchements une nouvelle source de ki pour alimenter sa transformation, persuadé qu'il est que sa force sera la clé de la victoire. Ce déploiement de ki fait exploser et s'agrandir le cratère, fendant le sol dans toutes les directions, morcelant encore un peu plus l'île déjà ruinée... Il ne remarque donc pas que, malgré le coup de boost qui lisse ses muscles et son armure, cette nouvelle augmentation lui fait perdre encore d'avantage en précision et agilité... Il se rue en direction de Cell, mais son coup ne fait que détruire le sol là où Cell se tenait. Trunks se redresse, sa sueur giclant de son visage alors qu'il se retourne à la recherche de son adversaire. Cell le frappe avec le plat extérieur de sa main sur la tempe de Trunks, qui se retrouve choqué et immobilisé. Cell lui inflige une clé de bras, les gros muscles de Trunks amplifiant la douleur de ce geste, la taille de ceux-ci lui bloquant certains mouvements... Trunks panique, il a quasi les larmes aux yeux suite à cette dernière manœuvre du monstre...
Chapitre 8
Brief : Le monstre relâche tout à coup son emprise, mais cette libération n'est en rien salutaire pour Trunks, Cell lui assène encore un puissant coup de poing dans la joue. Le temps semble ralentir alors que de la salive teintée de sang s'échappe des commissures des lèvres du guerrier. Son poids ayant augmenté, la force de Cell ne suffit pas à faire tomber Trunks, dont les pieds glissent sur la roche, creusant deux sillons sur plusieurs mètres. Cell reprends les frappes enchaînées, joue gauche, ventre, joue droite, ventre, nez, ventre, le guerrier Saiyan ne vacille pas, même s'il se fait traîner à chaque nouveau sur quelques mètres de plus, ces bottes ancrées dans le sol, le dos droit. Mais le dernier coup dans son ventre fait plier Trunks en deux, il se tient le ventre avec les mains, la douleur irradiant tous son corps depuis ce point. Trunks se tient bouche ouverte, face vers le sol, comme s'il allait vomir à tout moment tripes et boyaux. Il manque même de tomber à genoux, mais Cell, telle une machine de guerre en pilotage automatique, lui assène le prochain coup. Il s'assied sur le sol, prend appui sur ses bras, et lui donne un double coup de pied dans la poitrine qui envoie dans les airs le Saiyan - qui semble parti pour subir le même sort que son père. Cette pensée traverse l'esprit de Trunks, mais il est incapable de la moindre réaction physique, même si la panique le gagne. Dans sa course dans le ciel, le monstre se contente finalement de stopper sa course en plein vol, mais le répit est de courte durée, Cell lui donne un coup de genou dans le ventre, tenant son adversaire de la main gauche à la nuque, de la main droite par la ceinture de son armure. Nouveau coup de genou, puis un autre, encore un. Le dernier coup de genou est tellement fort qu'une bosse - née de l'onde de choc - se forme dans le dos de Trunks, qui hurle à l'agonie. Cell mets ses deux poings en position de marteau au dessus de sa tête, en frappe le Saiyan dans le dos, expédiant le malheureux guerrier droit vers le sol. Une nouvelle explosion vient ébranler la topographie de l'île, un nuage de poussière montant dans le ciel avant de disparaitre dans un silence assourdissant.
Chapitre 9
Brief : Presque miraculeusement, Trunks - au bout de longues minutes et au prix d'un effort que seul peut fournir un Saiyan - se relève, mais malgré sa transformation encore active, il n'est plus que l'ombre de lui-même. Trunks saigne du nez, du sang coulant de sa bouche, des cernes profondes sous les yeux. Bien que debout, il se tient les bras ballants, sans force, le regard tourné vers le ciel où Cell est resté posté suite à sa dernière attaque. Le monstre regarde de haut - au propre comme au figuré - son pitoyable adversaire. Il se décide à descendre et se pose à une cinquantaine de mètres de Trunks, qui est partagé entre le soulagement et la peur, soulagement que Cell ne reprenne pas son déferlement de coups, et peur du prochain mouvement du monstre, imprévisible. Cell se moque de Trunks, riant de ce manque d'expérience autant que de jugeote. Et tout à coup, dans une énième onde de choc qui dévaste encore l'île, le corps du monstre gonfle, comme si, sous son épaisse et inviolable chitine protectrice, ses muscles gonflaient. La nouvelle physionomie de Cell faisait vraiment penser au Super Saiyan daï san dankaï de Trunks. Après tout, le monstre possédait de l'ADN Saiyan à travers les cellules de Vegeta et Son Gokû. Cell commentait la facilité avec laquelle n'importe qui peut finalement atteindre cette forme. Déplaçant un énorme nuage de poussière et de gravats, Cell se rua avec cet énorme corps au devant de Trunks, et l'étreignit entre ses bras - tel un Bear Hug. Trunks senti le craquement de son armure, mais aussi la compression de ses muscles sous cette terrible emprise physique. Cette situation, aussi grotesque fut elle, provoqua en Trunks une ultime réaction de jouissance, presque orgasmique, mais uniquement lié au déplacement massif et soudain de sang à cause de la compression. Cell murmura, à quelques centimètres du visage du malheureux Trunks, qu'il n'était pas un guerrier, mais un simple idiot, la vitesse et l'agilité faisant partie des clés de la victoire. Il libère son étreinte, rompant sa transformation. Trunks fit de même, glissant du bout des lèvres qu'il s'avouait vaincu. Le monstre jubilait, mais savait que ce combat n'était pas non plus la preuve dont il a besoin pour asseoir la supériorité de son corps parfait sur l'ensemble des combattants...
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